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Critique de Chocolatiine


Dans le deuxième tome d'Oeuvre d'art, Laurie Pirès nous propose un intéressant changement de perspective. le narrateur sera cette fois Charlène Mahé, la jeune amante de James Taylor. de son sombre passé aux évènements relatés dans le premier tome, nous avons 225 pages pour découvrir la jeune femme et les lourds secrets qu'elle garde.

Je vais commencer par parler de ce qui, selon moi, mériterait d'être revu. J'ai relevé un certain nombre de fautes d'orthographe et de style dans ce tome. Je ne doute pas que l'auteure saura corriger cela, aussi je ne m'appesantirai pas là-dessus.
Le personnage de Charlène, qui ne m'avait pas vraiment plu dans La muse, m'a semblé cette fois beaucoup plus sympathique. Vivant les évènements de son point de vue, nous pouvons enfin savoir ce que cache sa troublante absence d'expression faciale. Elle m'a touchée, émue. J'ai bien aimé cette jeune femme qui se cherche, qui construit son avenir en dépit de toutes les embuches qu'elle trouve sur son chemin, qui se libère de ses démons.
Ici encore, le roman est enrichissant. le récit est parsemé d'informations sur l'art et son milieu. Comme la dernière fois, j'ai beaucoup apprécié cela.
Mais ce n'est pas tout. Laurie Pirès a savamment fait varier l'ambiance de son roman : tantôt torride, tantôt mélancolique, on ne s'y ennuie pas. Je dirais même plus : après les révélations des derniers chapitres, on a hâte de lire le futur troisième tome qui promet d'être lui aussi plein de rebondissements !

NB : A l'heure où j'écris cette critique, ce livre est disponible sur Wattpad et Scribay.
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