Ce roman se lit comme un conte. Une histoire improbable à laquelle on adhère un peu parce que l'on croit en l'homme et qu'il est bon de cultiver l'espoir. La trame est simple : un très gros méchant devenu gentil, une petite fille en détresse et des personnages secondaires qui étayent l'idée d'une possible rédemption. Il y a la peur, la délation, la survie, l'amour, la jalousie, l'espoir. Une multitude de sentiments humains retranscrite dans un contexte sombre. En effet, personne n'est blanc ou noir. C'est parfois simpliste, cousu de fil blanc, mais les pages se tournent. Ce n'est ni bien, ni mal.
Une lecture agréable, sans plus, que j'oublierai rapidement.
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