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Critique de jfff
Une suite tardive à l'iconoclaste "Traité du Zen et de l'entretient des motocyclettes" . L'auteur, qui, semble t-il, n'a pas cessé ses investigations métaphysiques, philosophiques et introspectives, déploie là, encore plus, son essai de description de la réalité telle qu'il la perçoit, et telle que la pensée zen la percevrait selon lui.
Dans son premier livre il définit avec la précision d'un mécanicien la notion de qualité, centrale dans sa pensée. Dans son second livre il la précise en résolvant la pierre d'achoppement qui l'avait plongé dans le trouble profond qu'il avait décri dans l'ouvrage précédent.
Il rajoute à sa définition, toute personnelle, de la qualité, les notions de qualité statique et de qualité dynamique applicables à toute la diversité du réel (minéral, végétal, animal, pensée, émotion, énergie, cosmologie ...) ; précisons qui, au-delà de rétablir l'auteur dans une relation sereine à son environnement, achèvent de peindre une description de la réalité qui ne manque pas de nous étonner par sa pertinence.
Quant à l'être humain, dont il rappelle qu'il en est un exemplaire,en décrivant son aventure avec l'atypique Lila, il lui rajoute dans sa description commencé dans le livre précédent une dimension sociale (en plus des 3 classiques domaines dévolu à l'être humain, soit les domaines, physique,mental et émotionnel.).
En conclusion, il s'agit là d'un livre, qui comme le précédent, est un OVNI littéraire, ni roman ni traité de philosophie (un traité de philosophie romanesque ??) et dont l'originalité fait l'importance, l'importance de nous faire participer à une aventure humaine hors du commun, l'aventure de l'auteur, de la pensée, de l'humanité.
A lire donc, mais comme le "Traité du Zen ..." à relire et relire parce que les concepts évoqués ne sont pas courants et demandent un investissement personnel pour les comprendre.
Dans son premier livre il définit avec la précision d'un mécanicien la notion de qualité, centrale dans sa pensée. Dans son second livre il la précise en résolvant la pierre d'achoppement qui l'avait plongé dans le trouble profond qu'il avait décri dans l'ouvrage précédent.
Il rajoute à sa définition, toute personnelle, de la qualité, les notions de qualité statique et de qualité dynamique applicables à toute la diversité du réel (minéral, végétal, animal, pensée, émotion, énergie, cosmologie ...) ; précisons qui, au-delà de rétablir l'auteur dans une relation sereine à son environnement, achèvent de peindre une description de la réalité qui ne manque pas de nous étonner par sa pertinence.
Quant à l'être humain, dont il rappelle qu'il en est un exemplaire,en décrivant son aventure avec l'atypique Lila, il lui rajoute dans sa description commencé dans le livre précédent une dimension sociale (en plus des 3 classiques domaines dévolu à l'être humain, soit les domaines, physique,mental et émotionnel.).
En conclusion, il s'agit là d'un livre, qui comme le précédent, est un OVNI littéraire, ni roman ni traité de philosophie (un traité de philosophie romanesque ??) et dont l'originalité fait l'importance, l'importance de nous faire participer à une aventure humaine hors du commun, l'aventure de l'auteur, de la pensée, de l'humanité.
A lire donc, mais comme le "Traité du Zen ..." à relire et relire parce que les concepts évoqués ne sont pas courants et demandent un investissement personnel pour les comprendre.
