Catherine Pozzi accepta de son vivant de publier six
poèmes dans la revue Mesures. Nous les retrouvons dans ce recueil, accompagnés de
poèmes retrouvés, prose poétique et de ses traductions de
poèmes de Stefan George. Ce sont ceux qui m'ont le plus touchée.
Catherine Pozzi nous offre une poésie exigeante, en lien étroit avec sa vie personnelle. En cela, les notes sont précieuses et explicitent largement les références. Elles m'ont été fort utiles, connaissant mal l'oeuvre de
Paul Valéry. Elles portent également un éclairage sur les effets des drogues qu'elle prenait pour atténuer les souffrances liées à sa maladie.
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