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Critique de tristecyr
Vous êtes bien installé dans votre canope ?! Vous risqueriez d'en avoir sacrément besoin pour ce tome "Seth" des annales du Disque-Monde ("Pyramides") où Pratchett dépoussière l'Antiquité en parodiant les nations et les notions clefs de cette époque : Egypte,Grèce,mythologie, dynastie pharaonique, démocratie originelle,philosophie,mathématiques, physique,etc,etc. Ce livre est donc un vaste creuset (où les dimensions du temps et de l'espace ne connaissent pas de limites) difficile à résumer et à suivre tellement il est farfelu...D'ailleurs,pour être franc, je me suis un peu enlisé dans sa lecture : une véritable traversée du désert !
Pourtant, ça débutait plutôt bien. L'apprentissage de Teppic au sein de la Guilde des Assassins dans la cité mouvementée d'Ankh-Morpork, loin du royaume millénaire et fermé de son père le pharaon Teppicymon XXVII, m'a emballé mais ensuite son retour au pays ne fut pas providentiel en ce qui me concerne...Son rôle de souverain, guidé par le grand prêtre Dios, pour pérenniser les traditions du Jolhimôme manque de punch dans la narration mais pas de références culturelles, très nombreuses ! Justement cet excès d'allusions masquela minceur d'un scénario échevelé : un fourre-tout dans lequel les personnages sont moins attachants qu'habituellement et même le final explosif tient plus du pétard mouillé que du feu d'artifice...Bref, pour ma pomme, le dicton se confirme : "Pierre qui roule n'amasse pas mousse!", ce bouquin est loin de faire couler le champagne à flot...un soda à la rigueur (ça pétille au départ mais s'essouffle rapidement...). Tome décevant en conclusion!
Pourtant, ça débutait plutôt bien. L'apprentissage de Teppic au sein de la Guilde des Assassins dans la cité mouvementée d'Ankh-Morpork, loin du royaume millénaire et fermé de son père le pharaon Teppicymon XXVII, m'a emballé mais ensuite son retour au pays ne fut pas providentiel en ce qui me concerne...Son rôle de souverain, guidé par le grand prêtre Dios, pour pérenniser les traditions du Jolhimôme manque de punch dans la narration mais pas de références culturelles, très nombreuses ! Justement cet excès d'allusions masquela minceur d'un scénario échevelé : un fourre-tout dans lequel les personnages sont moins attachants qu'habituellement et même le final explosif tient plus du pétard mouillé que du feu d'artifice...Bref, pour ma pomme, le dicton se confirme : "Pierre qui roule n'amasse pas mousse!", ce bouquin est loin de faire couler le champagne à flot...un soda à la rigueur (ça pétille au départ mais s'essouffle rapidement...). Tome décevant en conclusion!
