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Critique de CyranoGirl
Je tiens d'abord à remercier Philippe Pratx pour m'avoir donné l'opportunité de découvrir son roman. Pour la précision, je ne l'ai pas aimé. Je vais, cependant, essayer de rester objective afin d'en faire une critique juste.
De quoi parle l'histoire ? Nous, en tant que lecteurs, assistons à la lecture d'un scénar « Velorex » découvert, sur une clé USB abandonnée, par un groupe de personnages. Intriguant, intéressant. L'idée même de ce roman est bonne et m'intriguait énormément :) je m'attendais à tellement de choses, et je pense que cela fait partie de ma déception, quand j'ai éteins ma liseuse, à la fin du roman.
Philippe Pratx écrit très bien. Son style, en revanche, n'est pas du tout un style que j'apprécie comme il m'a fait sortir de manière continue de la lecture du roman. Par conséquent, je n'ai pas pu entrer dans le Scénar. Ce style force les lecteurs à rester à leur place de lecteur et à ne pas approcher du contenu. Je trouve ça un peu dommage, même si je sais que c'est un style comme un autre – soit on accroche, soit pas du tout. Je fais malheureusement partie de cette deuxième catégorie. le discours politique omniprésent n'aide pas non plus, comme cela ne me détend pas et que je ne lis pas pour être tendue.
Parlons maintenant du contenu. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup d'éléments intéressants qui auraient pu être exploités afin d'accrocher le lecteur (l'histoire de Bathory, la poursuite de Jaroslav, les fantômes de Jaroslav/Trotsky et de Bathory suivant le couple, la sortie des personnages du scénar…). Tant d'idées, et peu d'accroches. « Velorex » ne raconte pas grand-chose, à mon sens. Ou alors je n'ai peut-être rien compris, c'est bien possible. J'ai été perdue dans les va-et-vient entre les lecteurs du scénar dont je ne comprends ni les motivations, ni les pensées, et les passages de « Velorex » qui ne profitent pas, selon moi, des éléments mis en place.
Suite à une discussion avec mon compagnon, je me suis rendue compte que la lecture de ce roman m'a fait sentir comme si je regardais un streamer Twitch qui lui-même commentait un autre streamer Twitch qui lui joue et commente un jeu vidéo. Une sorte de mise en abyme qui n'apporte pas grand-chose au lecteur. En tant que vieweuse, cela ne m'apporte rien de regarder le premier streamer. Je préfère regarder directement celui qui joue.
En résumé, j'ai dévoré « Le Scénar », tout en le détestant et en ne comprenant rien, un peu comme ces grignotis que l'on continue à manger alors que le goût ne nous revient pas tant que ça. J'ai été déçue, très souvent, des opportunités non exploitées. Les lecteurs que l'on suit ne sont pas attachants, même s'il y a un petit chat parmi eux. Et la fin est incompréhensible, pour moi. Presque tout le roman, en fait, est incompréhensible, pour moi. Une deuxième ou troisième lecture sera peut-être nécessaire pour comprendre… même si je préfère, de loin, les livres que je comprends à la première lecture.
J'ai contacté directement l'auteur afin de connaître un peu plus le message qu'il voulait faire passer à ses lecteurs. Je comprends maintenant que le principe du livre n'était pas de plaire, mais de perdre. Je comprends également que l'idée était de remettre en question le réel de l'imaginaire tout au long de la lecture de « Velorex » en compagnie de Lola, Léo et Théo. le style du roman, cependant, a fait tout le contraire pour moi. Puisque je n'arrivais pas à intégrer ce groupe de lecteurs, dans le Scénar, j'ai tout « vu » de l'extérieur, et rien ne me paraissait logique. Trop de références, trop de tout sans avoir un fil conducteur clair que je pouvais suivre.
Merci encore beaucoup, Philippe Pratx, pour cette opportunité et vos réponses. Je ne suis, malheureusement, pas vraiment une adepte de votre style ni de ce roman. Je suis peut-être bien, en vérité, une grande lectrice de littérature Coca-Cola car je lis surtout pour m'échapper et me sentir bien, pas forcément pour me casser la tête sur un puzzle sans résolution.
De quoi parle l'histoire ? Nous, en tant que lecteurs, assistons à la lecture d'un scénar « Velorex » découvert, sur une clé USB abandonnée, par un groupe de personnages. Intriguant, intéressant. L'idée même de ce roman est bonne et m'intriguait énormément :) je m'attendais à tellement de choses, et je pense que cela fait partie de ma déception, quand j'ai éteins ma liseuse, à la fin du roman.
Philippe Pratx écrit très bien. Son style, en revanche, n'est pas du tout un style que j'apprécie comme il m'a fait sortir de manière continue de la lecture du roman. Par conséquent, je n'ai pas pu entrer dans le Scénar. Ce style force les lecteurs à rester à leur place de lecteur et à ne pas approcher du contenu. Je trouve ça un peu dommage, même si je sais que c'est un style comme un autre – soit on accroche, soit pas du tout. Je fais malheureusement partie de cette deuxième catégorie. le discours politique omniprésent n'aide pas non plus, comme cela ne me détend pas et que je ne lis pas pour être tendue.
Parlons maintenant du contenu. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup d'éléments intéressants qui auraient pu être exploités afin d'accrocher le lecteur (l'histoire de Bathory, la poursuite de Jaroslav, les fantômes de Jaroslav/Trotsky et de Bathory suivant le couple, la sortie des personnages du scénar…). Tant d'idées, et peu d'accroches. « Velorex » ne raconte pas grand-chose, à mon sens. Ou alors je n'ai peut-être rien compris, c'est bien possible. J'ai été perdue dans les va-et-vient entre les lecteurs du scénar dont je ne comprends ni les motivations, ni les pensées, et les passages de « Velorex » qui ne profitent pas, selon moi, des éléments mis en place.
Suite à une discussion avec mon compagnon, je me suis rendue compte que la lecture de ce roman m'a fait sentir comme si je regardais un streamer Twitch qui lui-même commentait un autre streamer Twitch qui lui joue et commente un jeu vidéo. Une sorte de mise en abyme qui n'apporte pas grand-chose au lecteur. En tant que vieweuse, cela ne m'apporte rien de regarder le premier streamer. Je préfère regarder directement celui qui joue.
En résumé, j'ai dévoré « Le Scénar », tout en le détestant et en ne comprenant rien, un peu comme ces grignotis que l'on continue à manger alors que le goût ne nous revient pas tant que ça. J'ai été déçue, très souvent, des opportunités non exploitées. Les lecteurs que l'on suit ne sont pas attachants, même s'il y a un petit chat parmi eux. Et la fin est incompréhensible, pour moi. Presque tout le roman, en fait, est incompréhensible, pour moi. Une deuxième ou troisième lecture sera peut-être nécessaire pour comprendre… même si je préfère, de loin, les livres que je comprends à la première lecture.
J'ai contacté directement l'auteur afin de connaître un peu plus le message qu'il voulait faire passer à ses lecteurs. Je comprends maintenant que le principe du livre n'était pas de plaire, mais de perdre. Je comprends également que l'idée était de remettre en question le réel de l'imaginaire tout au long de la lecture de « Velorex » en compagnie de Lola, Léo et Théo. le style du roman, cependant, a fait tout le contraire pour moi. Puisque je n'arrivais pas à intégrer ce groupe de lecteurs, dans le Scénar, j'ai tout « vu » de l'extérieur, et rien ne me paraissait logique. Trop de références, trop de tout sans avoir un fil conducteur clair que je pouvais suivre.
Merci encore beaucoup, Philippe Pratx, pour cette opportunité et vos réponses. Je ne suis, malheureusement, pas vraiment une adepte de votre style ni de ce roman. Je suis peut-être bien, en vérité, une grande lectrice de littérature Coca-Cola car je lis surtout pour m'échapper et me sentir bien, pas forcément pour me casser la tête sur un puzzle sans résolution.
