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Critique de lisalor
Mon avis : J'avais très envie de lire les aventures d'Aloysius Pendergast en commençant par le premier tome "Relic". Ce thriller prenant la poussière depuis 2009, je l'ai enfin sortie de ma PAL. Malgré quelques longueurs, j'ai passé un très bon moment avec ce thriller fantastique.
Muséum d'histoire naturelle de New York, des crimes sanglants et extrêmement violents viennent entacher la future grande exposition "Superstition". Deux jeunes garçons sont retrouvés le crane défoncé et le corps éventré par de longues griffures striant leur abdomen.
Tout laisse à croire que le musée est hanté par un monstre. Une bête terrifiante vient de se réveiller des bas fonds du musée, dotée d'une intelligence hors norme, elle semble en partie humaine.
Un véritable jeu de chasse va commencer.
Je me suis régalée avec ce premier tome des aventures de l'agent du FBI Pendergast, un personnage intelligent, pondéré , au flegme légendaire, doté d'un humour caustique et de réparties parfois cinglantes.
Du rythme, de l'action, des courses poursuites frissonnantes, angoissantes, la traque dans les sous sols du musée m'ont fait oublier certaines longueurs et quelques passages soporifiques.
Lien : http://lisalor.loulou.over-b..
Muséum d'histoire naturelle de New York, des crimes sanglants et extrêmement violents viennent entacher la future grande exposition "Superstition". Deux jeunes garçons sont retrouvés le crane défoncé et le corps éventré par de longues griffures striant leur abdomen.
Tout laisse à croire que le musée est hanté par un monstre. Une bête terrifiante vient de se réveiller des bas fonds du musée, dotée d'une intelligence hors norme, elle semble en partie humaine.
Un véritable jeu de chasse va commencer.
Je me suis régalée avec ce premier tome des aventures de l'agent du FBI Pendergast, un personnage intelligent, pondéré , au flegme légendaire, doté d'un humour caustique et de réparties parfois cinglantes.
Du rythme, de l'action, des courses poursuites frissonnantes, angoissantes, la traque dans les sous sols du musée m'ont fait oublier certaines longueurs et quelques passages soporifiques.
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