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Critique de danslabibliothequedanne
J'ai pris comme un cadeau la découverte de ce livre dans ma bibliothèque familiale. Pour tout dire je cherchais si nous avions Manon Lescaut et je tombe sur cette Françoise Prévost, j'ouvre et je vois une préface de Léon Schwarzenberg, ça va parler de cancer du sein.
J'ai adoré ce bouquin, parce que j'ai aimé cette langue fluide et orale, parce que j'ai eu moi-même un cancer du sein et que j'ai eu l'impression que Françoise Prévost empruntait un tas de mots, d'idées et de pensées que j'avais eus !
Je ne connaissais pas cette dame mais elle a été actrice dans les années 60 et 70, je n'ai cherché sa photo qu'après la lecture, je voulais rester concentrée sur cette belle langue sans penser à elle, physiquement, j'entends.
J'ai dévore ce bouquin en une fois, vivant avec elle la découverte d'un nodule, la frousse que ce soit un cancer, l'optimisme que ce soit seulement un kyste, puis les rendez-vous chez le médecin, l'opération etc.
Elle parle tout au long du livre de la nécessité absolue de parler beaucoup plus de cancer en France et même d'en parler tous les jours s'il le faut ! C'est un livre qui a été écrit il y a quasiment 50 ans, mais je vois que pour ça, on n'a pas tellement évolué. Donc j'ai trouvé que c'était un livre non seulement bien écrit mais nécessaire !
Je suis en train à l'intérieur de mon podcast Dans le sillage d'Anne, de travailler sur un blog de littérature et c'est sûr que je ferai un article plus long sur ce bouquin dans mon blog, à suivre donc... ;)
J'ai adoré ce bouquin, parce que j'ai aimé cette langue fluide et orale, parce que j'ai eu moi-même un cancer du sein et que j'ai eu l'impression que Françoise Prévost empruntait un tas de mots, d'idées et de pensées que j'avais eus !
Je ne connaissais pas cette dame mais elle a été actrice dans les années 60 et 70, je n'ai cherché sa photo qu'après la lecture, je voulais rester concentrée sur cette belle langue sans penser à elle, physiquement, j'entends.
J'ai dévore ce bouquin en une fois, vivant avec elle la découverte d'un nodule, la frousse que ce soit un cancer, l'optimisme que ce soit seulement un kyste, puis les rendez-vous chez le médecin, l'opération etc.
Elle parle tout au long du livre de la nécessité absolue de parler beaucoup plus de cancer en France et même d'en parler tous les jours s'il le faut ! C'est un livre qui a été écrit il y a quasiment 50 ans, mais je vois que pour ça, on n'a pas tellement évolué. Donc j'ai trouvé que c'était un livre non seulement bien écrit mais nécessaire !
Je suis en train à l'intérieur de mon podcast Dans le sillage d'Anne, de travailler sur un blog de littérature et c'est sûr que je ferai un article plus long sur ce bouquin dans mon blog, à suivre donc... ;)
