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Critique de Auboutdupetitmatin
Vini vann ! (=viens vendre!) est un récit autobiographique en langue française racontant l'exil d'une famille Martiniquaise dans le sud de la France et les moments de retour au pays natal, particulièrement, l'enchantement des retours tels que perçu par la jeune narratrice.
Il n'est pas aisé de critiquer ce roman car l'apparition de nouvelles plumes sur la scène littéraire martiniquaise est á encourager. Cependant, ce premier roman manque quelque fois de structure et présente beaucoup de répétitions. Il semble que le travail d'édition aurait pu être plus poussé pour en améliorer le contenu. le titre, "Vin Vann" peut prêter á confusion, on s'attend á un ouvrage sur l'univers des petits commerces, hauts lieux social des Antilles mais seul un chapitre est destiné á ces débits de la régie. le roman relate une fascination pour une Martinique d'antan, malgré la pauvreté, la situation sanitaire catastrophique. le ton, parfois passéiste laisse transparaître une certaine naïveté, le style est essentiellement descriptif, alors que la réflexion pourrait parfois être poussée.
Le roman a le mérite d'être la mémoire du maillage social tel qu'il existait, de la solidarité et l'entraide entre voisins dans la Martinique des années 70, et qui se voyait en particulier dans les petits commerces de quartier.
Lien : https://kalalou.wordpress.com/
Il n'est pas aisé de critiquer ce roman car l'apparition de nouvelles plumes sur la scène littéraire martiniquaise est á encourager. Cependant, ce premier roman manque quelque fois de structure et présente beaucoup de répétitions. Il semble que le travail d'édition aurait pu être plus poussé pour en améliorer le contenu. le titre, "Vin Vann" peut prêter á confusion, on s'attend á un ouvrage sur l'univers des petits commerces, hauts lieux social des Antilles mais seul un chapitre est destiné á ces débits de la régie. le roman relate une fascination pour une Martinique d'antan, malgré la pauvreté, la situation sanitaire catastrophique. le ton, parfois passéiste laisse transparaître une certaine naïveté, le style est essentiellement descriptif, alors que la réflexion pourrait parfois être poussée.
Le roman a le mérite d'être la mémoire du maillage social tel qu'il existait, de la solidarité et l'entraide entre voisins dans la Martinique des années 70, et qui se voyait en particulier dans les petits commerces de quartier.
Lien : https://kalalou.wordpress.com/
