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Critique de Laury-Anne


Quand le beau héros n'est rien qu'une loque alcoolique…

Parce qu'il faut bien avouer que Reginald Davenport n'a rien d'un héros ordinaire : à presque quarante ans, c'est un ivrogne ruiné, finissant ses soirées il ne sait même pas comment, les excès se lisant sur son visage… On a connu plus glamour ! Il est même surnommé « le Désespoir des Davenport ». Bref, un joli tableau. Son cousin, le comte Wargrave, a décidé de lui couper les vivres… Enfin, c'est ce que pense Reginald en arrivant au rendez-vous. Mais Wargrave est un homme honnête. Effectivement, il coupe la rente que Reginald touchait, mais en échange lui donne un domaine qui devrait lui rapporter le double de la fameuse rente. Ce domaine, Strickland, est administré avec brio depuis quelques années par un dénommé Weston. Wargrave indique également à Davenport qu'il effacera également toutes ses dettes, afin que le jeune homme reparte sur de bonnes bases. C'est un beau geste que fait son cousin, sachant que Strickland est un domaine florissant et qu'il sait que Reginald y a passé son enfance. de plus, cette parcelle aurait du revenir d'office à Davenport, puisqu'elle appartenait à sa mère et non à son père. le comte précédent avait délibérément spolié son neveu ! [...]
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