La voie de Laura, c'est tout ce que je n'aime pas condensé dans une seule histoire. Dessin approximatif, colorisation cheapos, sexualité représentée non pas comme une quête de plaisir mais uniquement comme moyen d'humiliation, sexe forcé, trajectoire éculée de l'héroïne transformée en esclave sexuelle, cliché de la femme qui veut pas mais qui finit par aimer sitôt qu'on force un peu (culture du viol, donc), ton complaisant pour raconter tout ce fatras estampillé Weinstein spirit comme quelque chose de cool.
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