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Critique de Diabolau


Les chevaliers teutoniques ne sont pas un sujet couramment exploité dans la littérature, au contraire de leurs "cousins" les Templiers qui eux, sont surexploités.
C'est la raison essentielle qui m'a fait tenter le coup du début de cette série en 7 tomes sortie depuis un moment déjà chez Glénat, d'une autrice par ailleurs fort peu connue.
Hélas ! Hélassssssss ! Ce premier tome, qui commence tambour battant par un viol collectif histoire de mettre dans l'ambiance, est fort peu probant, je le crains, avec énormément d'évènements concentrés en 48 pages et une histoire qui paraît déjà tirée par les cheveux, sans parler d'enchaînements narratifs bien foutraques, même si les dessins séparément sont plutôt corrects... Seulement voilà, la BD c'est aussi l'art de l'agencement, de l'enchaînement, de la mise en mouvement, et là c'est malheureusement très amateur.
J'ai acquis le second volume histoire de confirmer ou infirmer, mais avec un tel départ, je crains de ne pas aller beaucoup plus loin.
C'est tout le problème de cette collection vécu de Glénat, à laquelle j'ai pourtant été biberonné depuis les années 90. Si elle a révolutionné le milieu de la BD historique, elle est aussi, il faut en convenir, très inégale, avec des thèmes originaux parfois très mal exploités, des séries qui démarrent bien mais qui s'effilochent au cours d'un nombre de tomes parfois pléthorique, et même des purges incommensurables, comme "Le vent des dieux" que j'ai relue récemment, et dont j'avais oublié la nullité crasse.
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