Savoir que Rebus va nous quittés prochainement me chagrine beaucoup. En attendant j'ai dégusté ce livre jusqu'au bout ! Ian Rankin nous montre que les voies du bien et du mal s'emmêlent et se démêlent suivant de drôles de chemins. Sur fond de G8, Rebus et sa collègue Siobhan vont devoir ruser et jouer les empêcheurs de tourner en rond pour arriver à leurs fins. On sent bien l'extrême fatigue de Rebus, qui n'a rien à perdre et ne peut s'arrêter, tant que résone en lui...
L'appel des morts.
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