On ne présente plus Richard Bolitho. A l'évocation de son seul nom, Grenouilles, Espagnols, forbans et autres barbaresques prennent leurs huniers à leurs vergues et s'enfuient à l'autre bout des sept mers.
Pourtant, ces nouvelles aventures du célèbre marin anglais, devenu capitaine de pavillon de l'amiral Broughton dans les eaux méditerranéennes m'ont parues manquer de sel.
J'ai eu l'impression que l'auteur, ou l'éditeur, avait fait des coupes dans le récit et parfois de façon fort malheureuse.
Ce bémol mis à part, c'est toujours un régal de lire la traduction de Luc de Rancourt. En ces temps de couvre-feu, comme il est doux de pouvoir s'échapper par la porte du grand large.
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