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Critique de CasusBelli
Je retrouve Richard Bolitho avec plaisir, deux années se sont écoulées depuis le dernier épisode et c'est en qualité de quatrième lieutenant que nous le retrouvons à bord du Trojan sous les ordres du capitaine Pears.
Bolitho a désormais vingt ans et c'est toujours un bonheur de lecture que de le voir évoluer dans le cadre très hiérarchisé de la Royal Navy et son protocole immuable.
Si je prends autant de plaisir à lire cette série, c'est aussi et surtout pour son caractère historique précis, cet épisode nous propulse en Amérique lors de la guerre d'indépendance où les anglais ont fort à faire pour conserver leurs colonies.
Il s'agit résolument d'un récit d'aventure épique et le moins que l'on puisse dire est que l'action va être omniprésente tout du long, pas le temps de souffler et encore moins de s'ennuyer.
Pour la recette nous retrouvons les mêmes ingrédients auxquels nous sommes désormais habitués, la galerie de lieutenants ambitieux ou aigris, l'intransigeance du commandement et la sévérité de la discipline de la marine de guerre.
Cependant, ce qui rend cette série aussi intéressante tient surtout au soin accordé aux personnages dont la psychologie ne passe pas au second plan, en passant j'ai retrouvé Stockdale avec plaisir. Les états d'âmes de Bolitho vont passer d'une extrémité à l'autre du curseur sous la pression du devoir et de la loyauté, le mot dilemme sera décliné souvent et à tous les temps.
Sans parler d'outrance j'ai trouvé quand même que notre jeune héros était un peu trop souvent exposé et chanceux, j'ai tout de même passé un très bon moment de lecture pour toutes les raisons évoquées plus haut.
Bolitho a désormais vingt ans et c'est toujours un bonheur de lecture que de le voir évoluer dans le cadre très hiérarchisé de la Royal Navy et son protocole immuable.
Si je prends autant de plaisir à lire cette série, c'est aussi et surtout pour son caractère historique précis, cet épisode nous propulse en Amérique lors de la guerre d'indépendance où les anglais ont fort à faire pour conserver leurs colonies.
Il s'agit résolument d'un récit d'aventure épique et le moins que l'on puisse dire est que l'action va être omniprésente tout du long, pas le temps de souffler et encore moins de s'ennuyer.
Pour la recette nous retrouvons les mêmes ingrédients auxquels nous sommes désormais habitués, la galerie de lieutenants ambitieux ou aigris, l'intransigeance du commandement et la sévérité de la discipline de la marine de guerre.
Cependant, ce qui rend cette série aussi intéressante tient surtout au soin accordé aux personnages dont la psychologie ne passe pas au second plan, en passant j'ai retrouvé Stockdale avec plaisir. Les états d'âmes de Bolitho vont passer d'une extrémité à l'autre du curseur sous la pression du devoir et de la loyauté, le mot dilemme sera décliné souvent et à tous les temps.
Sans parler d'outrance j'ai trouvé quand même que notre jeune héros était un peu trop souvent exposé et chanceux, j'ai tout de même passé un très bon moment de lecture pour toutes les raisons évoquées plus haut.
