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Critique de marosaga
Acerbe, étouffant, irritant, irrévérencieux : ce roman mérite tous ces qualificatifs, mais bien plus encore...
Au premier abord déroutant à force de satyre exacerbée, en fait cet "Holocauste" écrit par Tova Reich qui cumule le fait d'être fille de rabbin et ex- femme du directeur du musée de l'Holocauste de Washington ne peut que nous obliger à relire l'exploitation qui est faite de cette ignominie et, à l'issue du roman on en est amené à se demander où se place vraiment l'horreur.
J'ai des amis à Oswiecim (ville polonaise où est situé le camp d'Auswitch-Birkenau), je l'ai visité plusieurs fois, j'ai assisté à la cérémonie de libération, le 27 janvier... et je dois avouer que cet écrit m'a profondément bouleversée ; autant au moins que ma 1ère visite du camp. Mme Tova Reich a décidément réalisé un bel essai, sous forme d'un écrit délirant, provocateur, pas toujours facile à lire.
Au premier abord déroutant à force de satyre exacerbée, en fait cet "Holocauste" écrit par Tova Reich qui cumule le fait d'être fille de rabbin et ex- femme du directeur du musée de l'Holocauste de Washington ne peut que nous obliger à relire l'exploitation qui est faite de cette ignominie et, à l'issue du roman on en est amené à se demander où se place vraiment l'horreur.
J'ai des amis à Oswiecim (ville polonaise où est situé le camp d'Auswitch-Birkenau), je l'ai visité plusieurs fois, j'ai assisté à la cérémonie de libération, le 27 janvier... et je dois avouer que cet écrit m'a profondément bouleversée ; autant au moins que ma 1ère visite du camp. Mme Tova Reich a décidément réalisé un bel essai, sous forme d'un écrit délirant, provocateur, pas toujours facile à lire.
