A la page 40, j'ai failli abandonner.
Un texte pompeux, sans aucune aération dans la mise en page, de longues phrases pleines d'autosatisfaction de la part de l'auteur.
Puis ça a eu l'air de s'arranger et j'ai continué, jusqu'au bout, 413 pages quand même, et je le regrette.
C'est beaucoup trop long. Beaucoup de choses m'ont déplu, comme cette manière de toujours nommer l'héroïne « Bénédicte Ombredanne », ça établit une distance superflue, et puis ce nom est vaguement ridicule.
Seul le phénomène de harcèlement moral est bien rendu, encore qu'on se demande comment Bénédicte s'y enlise à ce point. Mais bon, c'est le propre du harcèlement moral que de phagocyter ses proies.
Quand à la dernière partie, racontée par la soeur jumelle surgie de nulle part, c'est vraiment la moins bien écrite du texte.
Me reste de ce roman un sentiment de verbiage prétentieux.
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