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Critique de Ogusta
Re lecture d'un livre de ma bibliothèque de jeunesse : juillet 2022.
Parfois, quand je n'ai plus de livre sous la main, je relis et il arrive que cette nouvelle lecture soit quasi une première lecture. J'y retrouve quelques émotions fugaces, mais je ne retrouve pas exactement l'histoire, ni les sentiments éprouvés alors... Je n'ai pas oublié L'oiseau crocodile, mais je ne suis plus la même et la femme n'avait jamais lu ce livre, c'était l'adolescente, ou à peine davantage, qui l'avait lu.
Impressions actuelles : un roman d'amour et d'émancipation sur fond d'intrigue policière.
Liza quitte sa mère le jour où les policiers viennent l'arrêter pour meurtre, elle part seule vers l'inconnu (enfin pas totalement), car, pour sa mère, Eve (étrange d'avoir choisi ce nom, à mon avis, il ne s'agit pas d'une coïncidence), Liza, pourtant âgée de 17 ans, ne connaît rien d'autre que Shrove, le domaine enchanteur où elle a grandi et les leçons innombrables de littérature, entres autres, qu'elle même lui a enseignées.
Liza n'a jamais fréquenté l'école, ni vécu en société, à peine a-t-elle regardé la télévision en cachette de sa mère, elle ne connait rien au monde extérieur, cependant elle en sait déjà un rayon sur la nature humaine.
En effet, Eve a fréquenté des hommes durant ces dix-sept années de réclusion, mais que sont-ils tous devenus ?
Dès le départ, le postulat est posé, Eve est une meurtrière et Liza en est le témoin.
Il est une chose qu'Eve ignore. Pendant leur dernière année d'existence à Shrove, Liza a rencontré et fréquenté un jeune homme, le jardinier du domaine. Elle l'aime ou pense l'aimer (que sait-elle de l'amour et du désir ?) et le rejoint.
Tout au long de ce récit, Liza va dérouler pour lui et le lecteur toute la vie d'Eve et la sienne et nous révéler de lourds secrets, elle va aussi s'adapter et découvrir que, finalement, la littérature est une bonne école de la vie.
Un bon polar psychologique, un peu daté certes, mais qui a bien agrémenté mon été 2022.
Parfois, quand je n'ai plus de livre sous la main, je relis et il arrive que cette nouvelle lecture soit quasi une première lecture. J'y retrouve quelques émotions fugaces, mais je ne retrouve pas exactement l'histoire, ni les sentiments éprouvés alors... Je n'ai pas oublié L'oiseau crocodile, mais je ne suis plus la même et la femme n'avait jamais lu ce livre, c'était l'adolescente, ou à peine davantage, qui l'avait lu.
Impressions actuelles : un roman d'amour et d'émancipation sur fond d'intrigue policière.
Liza quitte sa mère le jour où les policiers viennent l'arrêter pour meurtre, elle part seule vers l'inconnu (enfin pas totalement), car, pour sa mère, Eve (étrange d'avoir choisi ce nom, à mon avis, il ne s'agit pas d'une coïncidence), Liza, pourtant âgée de 17 ans, ne connaît rien d'autre que Shrove, le domaine enchanteur où elle a grandi et les leçons innombrables de littérature, entres autres, qu'elle même lui a enseignées.
Liza n'a jamais fréquenté l'école, ni vécu en société, à peine a-t-elle regardé la télévision en cachette de sa mère, elle ne connait rien au monde extérieur, cependant elle en sait déjà un rayon sur la nature humaine.
En effet, Eve a fréquenté des hommes durant ces dix-sept années de réclusion, mais que sont-ils tous devenus ?
Dès le départ, le postulat est posé, Eve est une meurtrière et Liza en est le témoin.
Il est une chose qu'Eve ignore. Pendant leur dernière année d'existence à Shrove, Liza a rencontré et fréquenté un jeune homme, le jardinier du domaine. Elle l'aime ou pense l'aimer (que sait-elle de l'amour et du désir ?) et le rejoint.
Tout au long de ce récit, Liza va dérouler pour lui et le lecteur toute la vie d'Eve et la sienne et nous révéler de lourds secrets, elle va aussi s'adapter et découvrir que, finalement, la littérature est une bonne école de la vie.
Un bon polar psychologique, un peu daté certes, mais qui a bien agrémenté mon été 2022.
