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Critique de bdelhausse
Un premier tome d'une saga en demi-teinte. On démarre en 1942, mais on fait tout de suite un flashback en 1932, en Allemagne. La montée du nazisme est vue à travers un ensemble de personnes. de l'ouvrier raciste au jeune zazou trotskiste... tout le monde va donner son avis et vivre la montée d'Hitler.
On suit de plus près Katarina, jeune juive très attirante, et Martin. Ce sont les amours adolescentes, mais déjà fort affirmées. Fragiles par nature, par essence. Mais dont la fragilité est renforcée par l'état totalitaire qui se met en place. Ce sont les copains délaissés que l'on retrouve en uniforme de la S.A., les profs évincés pour leurs idées "de gauche", les filles que l'on aime mais qui aiment un autre, les soirées bien arrosées dans une certaine insouciance du lendemain...
Le scénario, la progression, le découpage... tout cela m'a plu. J'ai été fort perturbé par le dessin auquel je n'ai pas accroché, du tout. Par contre la mise en couleur, fort conventionnelle dans le choix des teintes, est plutôt réussie.
Il se dégage néanmoins un truc très attirant de l'ensemble qui force à y revenir. Je dois bien reconnaître que le destin des protagonistes ne m'est pas indifférent. Grosse qualité que cette capacité à accrocher le lecteur, clairement.
On suit de plus près Katarina, jeune juive très attirante, et Martin. Ce sont les amours adolescentes, mais déjà fort affirmées. Fragiles par nature, par essence. Mais dont la fragilité est renforcée par l'état totalitaire qui se met en place. Ce sont les copains délaissés que l'on retrouve en uniforme de la S.A., les profs évincés pour leurs idées "de gauche", les filles que l'on aime mais qui aiment un autre, les soirées bien arrosées dans une certaine insouciance du lendemain...
Le scénario, la progression, le découpage... tout cela m'a plu. J'ai été fort perturbé par le dessin auquel je n'ai pas accroché, du tout. Par contre la mise en couleur, fort conventionnelle dans le choix des teintes, est plutôt réussie.
Il se dégage néanmoins un truc très attirant de l'ensemble qui force à y revenir. Je dois bien reconnaître que le destin des protagonistes ne m'est pas indifférent. Grosse qualité que cette capacité à accrocher le lecteur, clairement.
