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Critique de JonathanLecuyer
Vagabondages éphémères est un roman très court de moins de 200 pages de chez Caraïbéditions.
Bon, c'est un premier roman pour l'auteur et ça se sent un peu, comme si ce dernier voulait se prouver qu'il est en mesure d'écrire un livre.
Alors certes, la plume est belle, mais il ne passe pas grand-chose, c'est un peu creux. le livre débute sur un Haïtien qui nous présente son île et son fonctionnement qu'il vomit. Ayant fait des études d'architecture, il va prendre la poudre d'escampette dès qu'il le pourra afin de se rendre en France. Ensuite, on va déboucher sur un triangle amoureux qui va partir en déliquescence au fil des pages, avec pour finir un périple à la recherche d'une personne. (Je ne spoil pas)
Je suis peut-être passé à côté d'un sous-texte, je ne sais pas, mais hormis l'arrivée de Mérédith dans la vie de notre protagoniste, le roman va nous livrer ses réflexions personnelles, ainsi que des descriptions assez réussis et qui nous ferons voyager de belle manière.
Mais il y a un goût de trop peu, trop peu consistant dans l'intrigue.
Je ne garderais pas un souvenir impérissable, mais la consolation viendra de la qualité de plume de Monsieur Robert.
Bon, c'est un premier roman pour l'auteur et ça se sent un peu, comme si ce dernier voulait se prouver qu'il est en mesure d'écrire un livre.
Alors certes, la plume est belle, mais il ne passe pas grand-chose, c'est un peu creux. le livre débute sur un Haïtien qui nous présente son île et son fonctionnement qu'il vomit. Ayant fait des études d'architecture, il va prendre la poudre d'escampette dès qu'il le pourra afin de se rendre en France. Ensuite, on va déboucher sur un triangle amoureux qui va partir en déliquescence au fil des pages, avec pour finir un périple à la recherche d'une personne. (Je ne spoil pas)
Je suis peut-être passé à côté d'un sous-texte, je ne sais pas, mais hormis l'arrivée de Mérédith dans la vie de notre protagoniste, le roman va nous livrer ses réflexions personnelles, ainsi que des descriptions assez réussis et qui nous ferons voyager de belle manière.
Mais il y a un goût de trop peu, trop peu consistant dans l'intrigue.
Je ne garderais pas un souvenir impérissable, mais la consolation viendra de la qualité de plume de Monsieur Robert.
