>
Critique de HORUSFONCK
Je suis assez mitigé sur ma première lecture de Éric Robinne.
Le récit, qui part d'une idée intéressante, aurait gagné à être moins schématique. L'auteur dévoile beaucoup trop tôt son jeu et n'approfondit pas suffisamment ses personnages. J'ai eu l'impression de survoler le sujet du livre.
Certaines phrases de fin de chapitre m'ont semblé assez pompeuses et maladroites, et quelques expressions et dialogues semblent issus de polars bâclés des années 50.
Il me semble même, que le manuscrit (ou tapuscrit) de Sophie eut mérité une relecture attentive par l'auteur.
Cependant, l'histoire ne courant sur guère plus de cent-quarante pages, j'ai pu garder mon attention jusqu'à la fin.
En bref, et pour finir, un roman sans prétention et un peu maladroit qui me laisse un peu sur ma faim... Mais qui ne me découragera pas d'entreprendre un autre lecture d'Éric Robinne.
Le récit, qui part d'une idée intéressante, aurait gagné à être moins schématique. L'auteur dévoile beaucoup trop tôt son jeu et n'approfondit pas suffisamment ses personnages. J'ai eu l'impression de survoler le sujet du livre.
Certaines phrases de fin de chapitre m'ont semblé assez pompeuses et maladroites, et quelques expressions et dialogues semblent issus de polars bâclés des années 50.
Il me semble même, que le manuscrit (ou tapuscrit) de Sophie eut mérité une relecture attentive par l'auteur.
Cependant, l'histoire ne courant sur guère plus de cent-quarante pages, j'ai pu garder mon attention jusqu'à la fin.
En bref, et pour finir, un roman sans prétention et un peu maladroit qui me laisse un peu sur ma faim... Mais qui ne me découragera pas d'entreprendre un autre lecture d'Éric Robinne.
