La langue est tellement belle que j'aimerais le lire dans l'originale, que j'ai dû lire et relire certaines phrases pour les goûter à fond, ce qui m'arrive peu en prose. le fond est très noir. La distance entre la beauté de l'écriture et la noirceur de l'histoire est telle que je n'aspire qu'à relire M.R. dans une autre histoire. Celle-ci colle à la mémoire durant des années.
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