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Critique de ValentineF
Qui n'a pas encore lu les Harry Potter ? Au moins vu au cinéma ou à la télé. Cette critique est-elle réellement utile ?
Au-delà de ces questions pseudo-existentielles pas du tout pertinente, Harry potter restera la série jeunesse d'une génération.
Pour les petits anglo-saxons, il s'agit de ma génération, celle des années 80s, qui à 11ans on découvert le premier volume (Comme l'âge d'Harry) et on grandit avec Harry au rythme d'un livre par an (environ).
Pour les français, l'explosion coïncide plus à la sortie du film qui nous a fait découvrir la série.
Dans ce premier tome, on nous présente l'environnement et le vocabulaire de la magie. C'est tout l'avantage d'avoir fait grandir Harry loin du monde des sorciers : D'un côté, l'auteur nous présente l'émerveillement de ce monde nouveau pour Harry, d'un autre, il nous permet d'avoir l'explication du vocabulaire, Harry demandant des explications à chaque fois.
On s'attache très vite à Harry, probablement parce qu'il a tout du petit Oliver Twist au démarrage : Orphelin, exploité, est toujours gentil malgré les épreuves. Ensuite, on est entrainé dans la valse des personnages, des situations étranges qui nous font rêver durant l'enfance, même si ce n'est pas le fond de l'histoire : Harry Potter, c'est une histoire d'amitié et de courage face à l'adversité où l'union fait la force. Harry s'unit à ses amis pour vaincre Voldemort, les enseignants s'unissent pour fabriquer les pièges qui protègent la pierre, mais Voldemort est seul à exploiter un sorcier.
C'est vraiment cette aspect de l'histoire qui me revient le plus en y réfléchissant, cette morale discrète concernant les valeurs de l'amitié.
Mais ce n'est que mon ressenti personnel, l'auteur n'a peut-être pas du tout réfléchi à cela.
Au-delà de ces questions pseudo-existentielles pas du tout pertinente, Harry potter restera la série jeunesse d'une génération.
Pour les petits anglo-saxons, il s'agit de ma génération, celle des années 80s, qui à 11ans on découvert le premier volume (Comme l'âge d'Harry) et on grandit avec Harry au rythme d'un livre par an (environ).
Pour les français, l'explosion coïncide plus à la sortie du film qui nous a fait découvrir la série.
Dans ce premier tome, on nous présente l'environnement et le vocabulaire de la magie. C'est tout l'avantage d'avoir fait grandir Harry loin du monde des sorciers : D'un côté, l'auteur nous présente l'émerveillement de ce monde nouveau pour Harry, d'un autre, il nous permet d'avoir l'explication du vocabulaire, Harry demandant des explications à chaque fois.
On s'attache très vite à Harry, probablement parce qu'il a tout du petit Oliver Twist au démarrage : Orphelin, exploité, est toujours gentil malgré les épreuves. Ensuite, on est entrainé dans la valse des personnages, des situations étranges qui nous font rêver durant l'enfance, même si ce n'est pas le fond de l'histoire : Harry Potter, c'est une histoire d'amitié et de courage face à l'adversité où l'union fait la force. Harry s'unit à ses amis pour vaincre Voldemort, les enseignants s'unissent pour fabriquer les pièges qui protègent la pierre, mais Voldemort est seul à exploiter un sorcier.
C'est vraiment cette aspect de l'histoire qui me revient le plus en y réfléchissant, cette morale discrète concernant les valeurs de l'amitié.
Mais ce n'est que mon ressenti personnel, l'auteur n'a peut-être pas du tout réfléchi à cela.
