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Critique de LisaGiraudTaylor


Ah, alors, si un roman commence par Jedusor et se continue par une coupe du monde de Quidditch, cela m'attire immédiatement…
Autant vous dire que j'ai dévoré le début de cet opus.

Pourtant le côté « on évite les moldus » et le mélange pendant la Coupe du monde m'a fait tiquer… une faute d'inattention ou cela se révèlera majeur dans la suite ?

Bref, revenons à nos sorciers en herbe…

Cette année est centrée sur la rencontre d'autres sorciers issus d'autres écoles, cultures, etc., et dont de l'intégration des valeurs, des sentiments, et bien sûr, compte-tenu de leurs âges, des flirts qui vont avec.

Entre farces des jumeaux Weasley (ceux-là…) et quelques détails sur le physique des personnages (on apprend petit à petit), l'affrontement entre sorciers devient important mais on sent bien (dès l'introduction), que vous-savez-qui va s'incruster directement ou indirectement.

Trois personnages, hors les héros récurrents, se détachent dans cet opus :
--Cédric Diggory – l'aimant à filles de l'école, tombeur de Gryffondor lors d'un match qui se révèle être d'une loyauté infaillible et qui va être le point de friction entre Ron et Hermione (jalousie quand tu nous tiens !) ;
--Viktor, le ténébreux champion, célèbre et adulé malgré ses défauts physiques (cette démarche de canard …) ;
--Et Fleur Delacour, la française, la classe à l'état pur, et d'une habilité incroyable…

D'autres personnages apparaissent et attirent des interrogations sur leurs comportements, leurs idées ou tout simplement la volonté d'influencer ou pas… notamment la journaliste Rita Skeeter… véritable tête à claques (comme la directrice de l'école française).

Le plus amusant est que les trois amis entrent de plein pied dans l'âge bête au moment où c'est le gros souk autour d'eux et que les forces alliées à Vous-Savez-Qui (dont Harry s'amuse à prononcer le nom comme pour provoquer l'intéressé et les autres) ne retiennent pas les coups (fourrés aussi).

Ce côté bêbête joue des tours qui pourraient avoir de graves conséquences.

L'opus est plus sombre, plus intense… et on bascule à la fin vers ce que l'on pense entrevoir… une bataille rangée.

Petite remarque générale… pourquoi dès le 2e opus, l'autoresse rappelle systématiquement les définitions (Moldus, etc.) ? Est-ce un tic ou la traduction française ? Un lexique en fin d'ouvrage pour les novices aurait été plus intéressant que ces redites plombant le récit.
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