Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom est de retour. Personne n'y croit, sauf Dumbledore et Harry. 1000 pages pour s'en rendre compte, une inquisitrice totalitariste qui fait du zèle pour empêcher la vérité de triompher, quelques amours adolescentes avortées, des sortilèges jetés, la mort du parrain après celle des parents, une pincée de Quiditch, on retrouve les ingrédients d'un bon Harry Potter. La potion est cependant un peu trop diluée (ce qui n'aurait pas plu au professeur Rogue, qui m'est de plus en plus sympathique) et l'on se prend à regretter la brièveté des tomes enfantins de la série. La fin joue son rôle d'appel à la lecture du prochain bouquin, on s'y accroche. le milieu, on s'y ennuye un peu... La question de la mort revient hanter Harry, qui grandit. L'initiation peut se poursuivre.
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