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Critique de Bleuven
Les thèmes abordés sont la vieillesse, la mort, les relations père/fils et les relations grand-père/petit fils.
Ce grand-père, ancien champion de boxe, semble très égoïste lorsqu'il annonce à sa femme Joséphine qu'il divorce afin de refaire sa vie ! de plus, les relations avec son fils sont extrêmement tendues ! A ses yeux, seul compte son petit-fils, Léonard ! Et leur relation est fusionnelle !
Pourtant, il est attachant ce bonhomme dont le patronyme est Napoléon ! Au fil de la lecture, on découvre que ce vieux grognon de 86 ans, cette force de la nature décline doucement. Et c'est pour cette raison qu'il a décidé de divorcer, qu'il est irrespectueux avec son fils et mène la vie dure à tous ses proches.
Pour être honnête, j'ai eu beaucoup de mal à aller au bout de ce roman… le personnage principal, Napoléon me gênait voir-même, m'indisposait par sa cruauté, sa vulgarité et son irresponsabilité.
La correspondance entre Joséphine et Léonard est surprenante : elle se livre à lui comme s'il s'agissait d'un adulte, or son petit-fils n'a qu'une dizaine d'années ! Même constat dans les dialogues entre Napoléon et son petit-fils.
A la fin du livre, on découvre que le fils de Napoléon (et donc le père de Léonard) est l'enfant de Rocky. Napoléon l'a adopté après la mort du champion de boxe. Cela n'apporte pas beaucoup à l'histoire, on comprend aisément que Napoléon n'est pas aussi méchant qu'il voudrait nous faire
croire !
Ce grand-père, ancien champion de boxe, semble très égoïste lorsqu'il annonce à sa femme Joséphine qu'il divorce afin de refaire sa vie ! de plus, les relations avec son fils sont extrêmement tendues ! A ses yeux, seul compte son petit-fils, Léonard ! Et leur relation est fusionnelle !
Pourtant, il est attachant ce bonhomme dont le patronyme est Napoléon ! Au fil de la lecture, on découvre que ce vieux grognon de 86 ans, cette force de la nature décline doucement. Et c'est pour cette raison qu'il a décidé de divorcer, qu'il est irrespectueux avec son fils et mène la vie dure à tous ses proches.
Pour être honnête, j'ai eu beaucoup de mal à aller au bout de ce roman… le personnage principal, Napoléon me gênait voir-même, m'indisposait par sa cruauté, sa vulgarité et son irresponsabilité.
La correspondance entre Joséphine et Léonard est surprenante : elle se livre à lui comme s'il s'agissait d'un adulte, or son petit-fils n'a qu'une dizaine d'années ! Même constat dans les dialogues entre Napoléon et son petit-fils.
A la fin du livre, on découvre que le fils de Napoléon (et donc le père de Léonard) est l'enfant de Rocky. Napoléon l'a adopté après la mort du champion de boxe. Cela n'apporte pas beaucoup à l'histoire, on comprend aisément que Napoléon n'est pas aussi méchant qu'il voudrait nous faire
croire !
