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Critique de Alfaric


Ce tome 15 regroupe tous les épisodes de la mini-série intitulé "La Faucheuse d'Herbe 2 : Voyage au Temple d'Atsuta" (juillet 2000 à janvier 2001), et on ne va pas se mentir c'est encore une fois un bon voire un très bon tome !
Après un prologue consacré à la mythologie japonaise, nous retrouvons le prêtre Sanshobo, Usagi et Gen qui veulent couper l'herbe sous le pied de tous les conspirateurs qui souhaitent s'emparer de la légendaire épée Faucheuse d'Herbe en remplaçant la fausse par la vraie au Temple d'Atsuta (voir tome 12). Sauf que depuis le temps qu'on les espionne ils sont pris rapidement pris en chasse par les ninjas neko (= chats) et les ninjas komoris (= chauves-souris) qui s'entre-déchirent pour s'emparer du très convoité trésor national et être les premiers à le ramener à Hijiki le Sombre Seigneur dans l'espoir d'entrer dans ses bonnes grâce. Ce que personne ne sait, c'est que Chizu veut elle le rendre à la mer pour que personne ne puisse l'utiliser à des fin politiques, et qu'elle a fort à faire entre son lieutenant Kageru qui veut devenir kashira à sa place, et Saru son ancienne subordonnée toujours en quête de vengeance depuis la mort de son amant (voir "Les Déserteurs" dans le tome 14). Chizu est donc tantôt l'alliée tantôt adversaire de la Team Usagi, et tout ce beau se retrouve dans le ferme d'Ikeda qui une fois de plus se retrouve au cœur de la lutte pour le pouvoir suprême... Sanshobo ancien samouraï retrouve son suzerain et Ikeda ancien général retrouve son vassal, mais la Faucheuse d'Herbe agit comme l'Anneau Unique et le seigneur repenti est de nouveau soumis à la tentation de rejoindre et remporter le game of thrones nippon. Tout n'est donc pas bien qui finit bien, car nous savons tous comment se termine l'histoire pour Boromir ^^
Par contre c'est bizarre, la traduction de Natalie Sinagra jusqu'à alors impeccable comporte ici quelques erreurs (« elle » devenant « il ») et quelques maladresses (des tournures modernes et familières pour des personnages qui ont toujours fait preuve de courtoisie et de politesse caractéristique de l’Ère Edo).
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