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Critique de florencem


J'ai vraiment beaucoup aimé ce tome vingt-deux. Même s'il est très... comment dire utopique en un sens car il se produit un événement juste incroyable, je ne sais pas, il y avait une énergie et aussi cette naïveté et ce côté si humain et "garçon d'à côté" que j'ai eu le sourire du début à la fin. Et franchement, depuis le début de la série Beck, je ne crois pas que cela me soit arrivé.

Jim Walsh, le célèbre producteur américain fait enfin son entrée dans la vie de Beck. Après plusieurs tentatives qui ont échoué, les garçons parviennent enfin à entrer en contact avec lui. On assiste d'abord à un jeu du chat et de la souris qui donne un côté comique et qui permet de dédramatiser le tout. C'était une bonne idée pour laisser sous-entendre que tout ne sera pas facile, même si le suspens n'est pas réellement présent. Difficile de se dire que la rencontre n'aura pas lieu. Harold Sakuishi appose aussi sa touche que j'adore : mettre Beck en avant avec son côté humain. Koyuki, ce garçon si adorable, arrive à communiquer avec les gens et à se faire aimer en quelques minutes. Et c'est là que les opportunités se créent. Et j'aime ça, parce que notre auteur met en avant quelque chose d'ultra positif.

Cet effet est d'ailleurs mis en avant tout au long du tome. Tandis que le groupe essaye de tourner leur clip avec Jim Walsh, on voit Ran l'arrogant courir dans toute la ville pour essayer de mettre la main sur le producteur américain qui lui a refusé 2 FOIS de travailler avec lui. le type gueule sur tout le monde, menace, hurle qu'il est le meilleur, que c'est inadmissible... pour n'obtenir absolument rien de chez rien. Ah si, il s'est fait humilié, ce qui est quand même jouissif, vu ce qu'il a fait subir à Beck. Et j'adhère totalement à cette trame.

Beck reste ainsi un groupe très humain, bien loin de l'image des groupes de rock sauvages et dans l'excès, mais c'est exactement ce qui fait sa force. le tome passe et il y a tous ces petits moments où l'on sourit parce que de plus en plus de personnes du milieu leur font confiance et créent un entourage solide autour d'eux. Cela fait chaud au coeur, surtout après toutes ces galères. Je croise très fort les doigts pour que cela continue.
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