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Critique de Toon


NB: le terme "Roi-Sorcier" est bien la traduction de "Witch-King" qui bien entendu renvoit forcément au Roi-Sorcier d'Angmar, le chef des Nazgûls...

Complètement indépendant du premier tome de la trilogie, celui-ci est divisé en 3 parties d'une qualité assez inégale.

Après un prologue qu'un ado cataloguerait "de ouf", où le duo est en plein raid dans une tour d'une liche "mineure", la première partie (40% merci les stats de la liseuse) n'offre pas grand-chose de vraiment intéressant, à part un peu d'humour peut être lors du banquet des Halflings..Pourtant l'auteur y a posé un certain nombre de personnages intéressants qu'il va développer plus tard (Une Paladine en devenir, un Magicien employée par une Guilde d'Assassin, un trio de demi-orcs, 2 nains dont l'un ne parle que par rime...) et d'objets magiques puissants (un crane trouvé dans le repère de la liche du prologue et un livre de pouvoir du Roi Sorcier). Longuet me parait l'adjectif ad-hoc... (ceux qui ont crié Géraaaard! sortent immédiatement)

La seconde partie (20%) démarre comme une partie de donj en extérieur: voila donc un groupe de 9 aventuriers tous + balaises les uns que les autres en route le repère du Roi-Sorcier. le groupe est homogène mais pas vraiment soudé, on sent pointer des inimitiés dignes du pire de Koh-Lanta... de belles scène de combat comme seul Salvatore s'est faire, et nous voila déjà rendu dans la 3ième et dernière partie...

Celle-ci est un vrai plaisir de dungeon crawling mais pas que: les personnages gagnent en profondeur, il ya des rebondissements assez imprévus (bon c'est vrai je suis assez naïf et je ne vois que rarement les choses arrivées), et pour une fois l'auteur ne se prive pas de faire mourrir ses personnages importants.

J'ai trouvé également que Salvatore avait gagné en maturité (bon il a dans les 55 ans quand même), il aborde des thèmes assez nouveaux pour lui: le questionnement permanent d'Entreri par exemple ou des sex-scènes quoique pudiques.
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