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Critique de etohyuta
Ce petit fascicule, nous parle des dangers qui courent sur nos Océans, de l'urgence d'agir, et détaille 10 manières d'agir chacun, dans son quotidien, à sa préservation.
Ce livre, choisi dans la liste de la masse critique par mon fils de 8 ans n'est pas vraiment écrit pour les enfants. Cependant il reste très abordable. Les auteurs cherchent vraiment à partager au plus grand nombre.
Après une introduction, expliquant simplement ce qui menace l'océan et les conséquences directes sur celui ci, Véronique et François Sarano nous encouragent à agir en :
- se réconciliant avec l'océan
- réduisant nos pollutions domestiques
-réduisant nos déchets
- réduisant notre consommation
- consommant moins de poisson
- se reconnectant avec l'océan
-ayant les bon réflexes en bord de mer
- adoptant les bons gestes au large
- réclamant des droits pour l'océan
- étant un acteur du changements
Beaucoup de ces conseils découlent du bon sens. Mais ils sont ici a chaque fois argumentés, et il ne fait jamais de mal de se les rappeler. Car on a tendance à parfois l'oublier (surtout quand on habite comme moi en pleine montagne) : Toutes nos plus infimes pollutions finissent dans l'océan, diffusées par le cycle de l'eau ou par le vent.
Ce livre, choisi dans la liste de la masse critique par mon fils de 8 ans n'est pas vraiment écrit pour les enfants. Cependant il reste très abordable. Les auteurs cherchent vraiment à partager au plus grand nombre.
Après une introduction, expliquant simplement ce qui menace l'océan et les conséquences directes sur celui ci, Véronique et François Sarano nous encouragent à agir en :
- se réconciliant avec l'océan
- réduisant nos pollutions domestiques
-réduisant nos déchets
- réduisant notre consommation
- consommant moins de poisson
- se reconnectant avec l'océan
-ayant les bon réflexes en bord de mer
- adoptant les bons gestes au large
- réclamant des droits pour l'océan
- étant un acteur du changements
Beaucoup de ces conseils découlent du bon sens. Mais ils sont ici a chaque fois argumentés, et il ne fait jamais de mal de se les rappeler. Car on a tendance à parfois l'oublier (surtout quand on habite comme moi en pleine montagne) : Toutes nos plus infimes pollutions finissent dans l'océan, diffusées par le cycle de l'eau ou par le vent.
