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Critique de ludi33
Taru vit dans une communauté de chasseurs. Ses idées innovantes et son désintérêt pour la chasse la mettent au ban de son village. Elle a donc la charge d'Hana, une prisonnière humaine. Alors que les attaques des rois de la forêt se multiplient, elle comprend que la chasse n'est pas une solution.
J'ai beaucoup aimé cette fable écologique, à la fois très simple et originale. La douceur de Taru, le fait qu'elle soit à l'acart de son village, sa solitude et ses idées en décalage, font d'elle un personnage attachant. On suit avec intérêt ses aventures pour sauver son village en cherchant une solution différente. Hana est un personnage un peu plus secret dont on sait moins de choses. Leur duo fonctionne pourtant à la perfection et leur péripéties, prenante, tiennent en haleine.
L'univers visuel est aussi très réussi. On peut ne pas adhérer totalement aux traits des personnages, mais je trouve que le résultat appuie la sauvagerie du monde dans lequel évolue les héroïnes.
J'ai reposé l'album avec un certain regret, d'autant que la fin, ouverte laisse entrevoir la possibilité d'une suite. Même si l'histoire peut se suffire à elle-même, je retrouverai avec plaisir Hana et Taru si une suite voit le jour.
J'ai beaucoup aimé cette fable écologique, à la fois très simple et originale. La douceur de Taru, le fait qu'elle soit à l'acart de son village, sa solitude et ses idées en décalage, font d'elle un personnage attachant. On suit avec intérêt ses aventures pour sauver son village en cherchant une solution différente. Hana est un personnage un peu plus secret dont on sait moins de choses. Leur duo fonctionne pourtant à la perfection et leur péripéties, prenante, tiennent en haleine.
L'univers visuel est aussi très réussi. On peut ne pas adhérer totalement aux traits des personnages, mais je trouve que le résultat appuie la sauvagerie du monde dans lequel évolue les héroïnes.
J'ai reposé l'album avec un certain regret, d'autant que la fin, ouverte laisse entrevoir la possibilité d'une suite. Même si l'histoire peut se suffire à elle-même, je retrouverai avec plaisir Hana et Taru si une suite voit le jour.
