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Critique de transat
Un classique de l'histoire de la littérature allemande; pour nous, sans doute davantage une curiosité. Mais qui aime les romantiques allemands aimera sans doute ce curieux roman, court au demeurant, mélange de considérations sur l'amour et récit d'une passion où les affinités intellectuelles et artistiques se joignent au désir des corps.
Au fil de chapitres constitués de lettres, de narrations et de réflexions, le narrateur plaide pour une liberté entière qui permettra à l'individu de s'épanouir, en harmonie avec son âme soeur – ici la peintre Lucinde – et avec le monde. Nous sommes en 1799 et tout cela va totalement à l'encontre de la morale étriquée de l'époque. Malgré des passages qui m'ont semblé obscurs, il y a dans ces pages un souffle de liberté, d'érotisme et d'enthousiasme qui étonne et qui ravit.
Au fil de chapitres constitués de lettres, de narrations et de réflexions, le narrateur plaide pour une liberté entière qui permettra à l'individu de s'épanouir, en harmonie avec son âme soeur – ici la peintre Lucinde – et avec le monde. Nous sommes en 1799 et tout cela va totalement à l'encontre de la morale étriquée de l'époque. Malgré des passages qui m'ont semblé obscurs, il y a dans ces pages un souffle de liberté, d'érotisme et d'enthousiasme qui étonne et qui ravit.
