Un mal de vivre ,expliqué en partie dans les autres critiques, poursuit l'auteur .Elle pense sans défaire dans une fuite éperdue loin de son pays ,l'Allemagne ,dans les voyages ,l'amitié .Mais rien ne la console ,on peut partir au bout du monde et garder le même mal-être ,ce qui est le cas ici ,en Perse où même les paysages respirent la mort ,la peur étant son corolaire .Le livre, d'une sensibilité à fleur de peau est toutefois nimbé d'une grande poésie
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