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Critique de BazaR
Deuxième volume consacré à la Terre de comics réinventés par James Robinson. Et c'est toujours aussi prenant !
On a d'abord droit à l'introduction du magicien Dr Fate dont je n'envie pas le destin. Car ses talents lui viennent d'un casque d'un ancien mage égyptien qui a seulement besoin d'un corps pour s'incarner. le mage laisse peu de liberté d'action à son hôte. Servir de voiture à un autre esprit, non décidément je ne l'envie pas.
Puis c'est en avant action toute ! le gouvernement mondial surarmé déclare la guerre à l'état du Dhérain dominé par un séide d'Apokolips exilé, j'ai nommé Steppenwolf. Ce gars est à l'origine du carnage provoqué par les armées d'Apokolips quelques années plus tôt. Inutile de dire qu'on ne lui fera pas de cadeau. Les Merveilles se mettent de la partie, du côté du gouvernement mondial. Cela s'annonce comme une partie de plaisir mais…
Là, ça commence à craindre sévère.
Je me répète, cette série ma plaît car elle met en avant des personnages déterrés du passé de DC comics, puissants mais fragiles, dans une mise en scène dramatique d'univers parallèle où tout peut arriver car on sait d'emblée que le titre ne durera pas longtemps. James Robinson fait du très bon boulot sur ses personnages et ses scénarios et Nicola Scott assure sur le dessin.
Je ne peux que conclure par… à suivre.
On a d'abord droit à l'introduction du magicien Dr Fate dont je n'envie pas le destin. Car ses talents lui viennent d'un casque d'un ancien mage égyptien qui a seulement besoin d'un corps pour s'incarner. le mage laisse peu de liberté d'action à son hôte. Servir de voiture à un autre esprit, non décidément je ne l'envie pas.
Puis c'est en avant action toute ! le gouvernement mondial surarmé déclare la guerre à l'état du Dhérain dominé par un séide d'Apokolips exilé, j'ai nommé Steppenwolf. Ce gars est à l'origine du carnage provoqué par les armées d'Apokolips quelques années plus tôt. Inutile de dire qu'on ne lui fera pas de cadeau. Les Merveilles se mettent de la partie, du côté du gouvernement mondial. Cela s'annonce comme une partie de plaisir mais…
Là, ça commence à craindre sévère.
Je me répète, cette série ma plaît car elle met en avant des personnages déterrés du passé de DC comics, puissants mais fragiles, dans une mise en scène dramatique d'univers parallèle où tout peut arriver car on sait d'emblée que le titre ne durera pas longtemps. James Robinson fait du très bon boulot sur ses personnages et ses scénarios et Nicola Scott assure sur le dessin.
Je ne peux que conclure par… à suivre.
