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Critique de HORUSFONCK
J' ai longtemps possédé ce hors-série, que j'ai fini par offrir.
Il venait compléter ce film, dont la sortie fut annoncée par d'inquiétantes affiches où s'inscrivaient: "dans l' espace, nul ne vous entendra crier"... Alien.
Le huitième passager; le premier film de terreur et d' anticipation.
Ce beau et sombre numéro de Métal Hurlant, nous emmenait dans le monde tourmenté des cauchemars du suisse Giger, d'où était né la plus terrifiante des créatures de S.F. au cinéma.
On y parcourait aussi, dans ce hors-série, les esquisses et croquis préparatoires des vaisseaux étranges, bio-mécanniques et du véhicule spatial des terriens confrontés à une horreur sans nom.
Sans Giger, et sa créature, jamais Alien n'eut été ce film précurseur qu'il restera dans les mémoires de cinéphiles... Et sans le génie de Ridley Scott, jamais ce cauchemar de l' espace n'aurait vu le jour. Pourquoi ne pas, un jour, rééditer ce beau métal Hurlant hors-série?
Il venait compléter ce film, dont la sortie fut annoncée par d'inquiétantes affiches où s'inscrivaient: "dans l' espace, nul ne vous entendra crier"... Alien.
Le huitième passager; le premier film de terreur et d' anticipation.
Ce beau et sombre numéro de Métal Hurlant, nous emmenait dans le monde tourmenté des cauchemars du suisse Giger, d'où était né la plus terrifiante des créatures de S.F. au cinéma.
On y parcourait aussi, dans ce hors-série, les esquisses et croquis préparatoires des vaisseaux étranges, bio-mécanniques et du véhicule spatial des terriens confrontés à une horreur sans nom.
Sans Giger, et sa créature, jamais Alien n'eut été ce film précurseur qu'il restera dans les mémoires de cinéphiles... Et sans le génie de Ridley Scott, jamais ce cauchemar de l' espace n'aurait vu le jour. Pourquoi ne pas, un jour, rééditer ce beau métal Hurlant hors-série?
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