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Critique de collectifpolar
Après les bretons, les marseillais !
Et oui je ne suis pas sectaire dans mes lectures surtout quand l'auteur s'appelle Serge Scotto
Mais alors que nous racontes « Au temps pour moi »
Herbert Turaive, quinquagénaire cynique, écrivain et tueur à gages, est lancé dans une affaire criminelle. Des auteurs de polars marseillais se font assassiner les uns après les autres et cette tuerie semble liée au scandale DSK.
L'histoire se mélange au scandale DSK, tient donc ? Oui mais pas vraiment. C'est juste une façon de plus de parler de l'actualité et pour l'auteur se moquer de la façon dont celle-ci est traité par les médias.
Mais alors que viennent faire les auteurs marseillais là-dedans ?
Et bien si Scotto dézingue ses coreligionnaires de plume c'est là aussi un prétexte car Serge Scotto est arrivé à la littérature par des chemins de traverse et tient depuis une place à part dans l'univers des auteurs de polars. Aussi peut-il se permettre de se moquer tendrement de l'édition marseillaise qui peu à peu ressemble de plus en plus au monde guindé de l'édition parisienne. Mais pas que l'univers branché des maisons d'édition, celui aussi du monde du livre. Oh, tout le monde en prend pour son grade, libraire, salon du livre, critique littéraire, média. Point de basse vengeance ici juste un simple constat. le monde va mal et celui de la littérature lui emboite le pas. Mais rassurez-vous ce roman est plein de tendresse et d'humour. Même s'il est parfois grinçant, Scotto ne peut s'empêcher de jouer avec nos sentiments et il fait tout pour que l'on s'attache à ses personnages. Il faut dire que lui aussi les aime ses anti-héros qu'il met en scène pour notre plus grand plaisir. Il crie aussi son amour à sa ville et la cité phocéenne devient un personnage à part en tiers de ce polar hors norme. C'est jubilatoire et irrésistible, alors je vous en pris laissez vous tenter par le style incomparable de monsieur Scotto.
Lien : https://collectifpolar.com/
Et oui je ne suis pas sectaire dans mes lectures surtout quand l'auteur s'appelle Serge Scotto
Mais alors que nous racontes « Au temps pour moi »
Herbert Turaive, quinquagénaire cynique, écrivain et tueur à gages, est lancé dans une affaire criminelle. Des auteurs de polars marseillais se font assassiner les uns après les autres et cette tuerie semble liée au scandale DSK.
L'histoire se mélange au scandale DSK, tient donc ? Oui mais pas vraiment. C'est juste une façon de plus de parler de l'actualité et pour l'auteur se moquer de la façon dont celle-ci est traité par les médias.
Mais alors que viennent faire les auteurs marseillais là-dedans ?
Et bien si Scotto dézingue ses coreligionnaires de plume c'est là aussi un prétexte car Serge Scotto est arrivé à la littérature par des chemins de traverse et tient depuis une place à part dans l'univers des auteurs de polars. Aussi peut-il se permettre de se moquer tendrement de l'édition marseillaise qui peu à peu ressemble de plus en plus au monde guindé de l'édition parisienne. Mais pas que l'univers branché des maisons d'édition, celui aussi du monde du livre. Oh, tout le monde en prend pour son grade, libraire, salon du livre, critique littéraire, média. Point de basse vengeance ici juste un simple constat. le monde va mal et celui de la littérature lui emboite le pas. Mais rassurez-vous ce roman est plein de tendresse et d'humour. Même s'il est parfois grinçant, Scotto ne peut s'empêcher de jouer avec nos sentiments et il fait tout pour que l'on s'attache à ses personnages. Il faut dire que lui aussi les aime ses anti-héros qu'il met en scène pour notre plus grand plaisir. Il crie aussi son amour à sa ville et la cité phocéenne devient un personnage à part en tiers de ce polar hors norme. C'est jubilatoire et irrésistible, alors je vous en pris laissez vous tenter par le style incomparable de monsieur Scotto.
Lien : https://collectifpolar.com/
