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Critique de LoupAlunettes
Avec Olia, c'est la poudre d'escampette à chaque fois.
Quelle est chafouin, cette enfant!
D'une humeur changeante au sens propre dès lors qu'elle croise les bras.
Nous pourrions dire qu'Olia boude, tout simplement lorsqu'elle n'est pas contente.
Mais en réalité, c'est bien plus subtile que cela, ces transformations d'humeur en témoignent.
Une carpe dans le bain un ours mal léché à table, une poule qui caquette dans la chambre à coucher.
Papa, maman et la tante Maroussia n'en croient pas leurs yeux et filent fissa à chaque fois.
Les images racontent les choses à leur façon bien plus mystérieuse.
Saisissant l'instant avant, pendant ou après, les auteurs nous montrent des petits bouts de Olia ou de la famille seulement, sans jamais qu'on les voit (sauf en 1ère de couverture ou en Olia transformée).
Ceux et celles qui ne lisent pas encore peuvent se refaire les scènes et activer leur imagination à partir des éléments en présence, une vraie mise en scène.
La porte de la salle de bain cache Maroussia à genoux qui oblige notre Olia crasseuse à se laver, le calme avant la tempête, tout est d'un ordre rigoureux dans l'image.
Les pieds de Olia dépassent tranquillement de sous la table tandis que dans le salon tout autour une place est renversée. Un voisin de table qui s'est probablement souvenu d'un rendez-vous de dernière minute à l'heure du dîner.
Olia ne souffre aucune remarque, aucune réprimande et "pop", elle fait son cochon.
Olia est une coquine, Olia est une chipie.
Une façon d'aborder le caprice des enfants.
On dédramatise on rit et on remet les choses en perspective, les maisons ne sont pas pour les petits cochons sauvages ou les ours.
Un album pour apprendre à grandir.
Les auteures slaves jettent un peu de cette exotisme sur les intérieurs et les personnages.
Il y a un caractère presque rétro année 70, ce qu ne serait pas incongru puisque Olia se rappelle.
Un album très intéressant.
Une bonne surprise.
Quelle est chafouin, cette enfant!
D'une humeur changeante au sens propre dès lors qu'elle croise les bras.
Nous pourrions dire qu'Olia boude, tout simplement lorsqu'elle n'est pas contente.
Mais en réalité, c'est bien plus subtile que cela, ces transformations d'humeur en témoignent.
Une carpe dans le bain un ours mal léché à table, une poule qui caquette dans la chambre à coucher.
Papa, maman et la tante Maroussia n'en croient pas leurs yeux et filent fissa à chaque fois.
Les images racontent les choses à leur façon bien plus mystérieuse.
Saisissant l'instant avant, pendant ou après, les auteurs nous montrent des petits bouts de Olia ou de la famille seulement, sans jamais qu'on les voit (sauf en 1ère de couverture ou en Olia transformée).
Ceux et celles qui ne lisent pas encore peuvent se refaire les scènes et activer leur imagination à partir des éléments en présence, une vraie mise en scène.
La porte de la salle de bain cache Maroussia à genoux qui oblige notre Olia crasseuse à se laver, le calme avant la tempête, tout est d'un ordre rigoureux dans l'image.
Les pieds de Olia dépassent tranquillement de sous la table tandis que dans le salon tout autour une place est renversée. Un voisin de table qui s'est probablement souvenu d'un rendez-vous de dernière minute à l'heure du dîner.
Olia ne souffre aucune remarque, aucune réprimande et "pop", elle fait son cochon.
Olia est une coquine, Olia est une chipie.
Une façon d'aborder le caprice des enfants.
On dédramatise on rit et on remet les choses en perspective, les maisons ne sont pas pour les petits cochons sauvages ou les ours.
Un album pour apprendre à grandir.
Les auteures slaves jettent un peu de cette exotisme sur les intérieurs et les personnages.
Il y a un caractère presque rétro année 70, ce qu ne serait pas incongru puisque Olia se rappelle.
Un album très intéressant.
Une bonne surprise.
