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Critique de Diabolau
Bon, eh bien ça ne prend pas si mal, Thorgal à la sauce Sente-Rosinski.
Fascinant, ce personnage de Manthor avec cet entremonde bourré de fétiches investis par les âmes des guerriers morts et refusés au Valhal.
Inquiétants, ces mages rouges qui s'intéressent de très près au troisième enfant de Thorgal, et l'on comprend que la retraite de ce dernier sera de courte durée.
Pas mal du tout, ce deuxième épisode du Koh-Lanta d'Asgard entre les cinq prétendants au bouclier d'airain, avec quelques bémols cependant par rapport à certaines "facilités" :
— Bon, le fait que ce soit Jolan qui soit l'élu, on s'en doutait un peu depuis le début, mais quand même, on n'était pas obligés de verser à ce point dans le manichéisme, entre d'une part le gentil garçon solidaire et altruiste, et d'autre part les gosses pourris gâtés égoïstes et prêts à piétiner les autres pour arriver à leurs fins.
— Quel morceau de chance que Jolan ait pu arrêter les rouages du temps juste au moment, je dirais même à l'instant précis où trois de ses concurrents allaient se faire bouffer/écraser/carboniser.
Sente relance donc la série avec compétence, mais sans génie non plus. Quant à Rosinski, il me paraît revenu à son meilleur niveau, comme si la peinture lui avait rendu une deuxième jeunesse. Quel talent !
Ce qui ne gâche rien, la fin est d'une belle poésie.
Fascinant, ce personnage de Manthor avec cet entremonde bourré de fétiches investis par les âmes des guerriers morts et refusés au Valhal.
Inquiétants, ces mages rouges qui s'intéressent de très près au troisième enfant de Thorgal, et l'on comprend que la retraite de ce dernier sera de courte durée.
Pas mal du tout, ce deuxième épisode du Koh-Lanta d'Asgard entre les cinq prétendants au bouclier d'airain, avec quelques bémols cependant par rapport à certaines "facilités" :
— Bon, le fait que ce soit Jolan qui soit l'élu, on s'en doutait un peu depuis le début, mais quand même, on n'était pas obligés de verser à ce point dans le manichéisme, entre d'une part le gentil garçon solidaire et altruiste, et d'autre part les gosses pourris gâtés égoïstes et prêts à piétiner les autres pour arriver à leurs fins.
— Quel morceau de chance que Jolan ait pu arrêter les rouages du temps juste au moment, je dirais même à l'instant précis où trois de ses concurrents allaient se faire bouffer/écraser/carboniser.
Sente relance donc la série avec compétence, mais sans génie non plus. Quant à Rosinski, il me paraît revenu à son meilleur niveau, comme si la peinture lui avait rendu une deuxième jeunesse. Quel talent !
Ce qui ne gâche rien, la fin est d'une belle poésie.
