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Critique de Amindara
Je ne m'étais jamais trouvée, jusqu'à présent, face à un roman racontant la dictature de Franco. C'est justement l'univers dans lequel nous sommes plongés dans ce roman ado.
Hotel Castellana nous permet de rencontrer Daniel, un jeune texan passionnée de photographie (qui rêve d'ailleurs de devenir photo-reporter) qui séjourne à Madrid en 1957, avec ses parents. A l'hôtel Castellana, dans lequel il est descendu, il rencontre Ana, employée chargée de s'occuper de sa famille. A travers leur regard à tous les deux, nous allons découvrir la vie en Espagne durant cette période troublée.
Au fil de notre lecture, nous en apprenons sur la vie quotidienne et les secrets de la dictature. Pour Ana et sa famille, dont les parents républicains ont été exécutés, la vie n'est pas simple. Ils doivent faire profil bas, ne pas attirer l'attention sur eux. Daniel, de son côté, comprend très vite que son statut d'Américain ne le protège pas vraiment, mais qu'il peut raconter énormément de chose avec ses photos. Quant à Purificacion, la cousine d'Ana, son travail à l'orphelinat lui permet de mettre le doigt sur des histoires pas très nettes…
J'ai vraiment beaucoup aimé cette immersion dans cette époque dangereuse. J'ai aimé voir les personnages se poser des questions, comprendre que quelque chose n'allait pas, chercher comment l'exprimer sans se mettre trop en danger. J'ai aimé voir leur évolution. J'ai aimé le fait que l'histoire se termine 20 ans après le début, après la chute de Franco.
En gros, j'ai aimé ce roman. Mais j'ai eu un peu de mal à y entrer au départ. Peut-être trop de personnages dès le début ? Et puis, j'avais lu tellement de bonnes critiques sur ce livre que je m'attendais à être davantage captivée. Alors qu'au final, j'ai bien aimé, mais je n'étais pas prise dedans au point de ne pas pouvoir le lâcher. J'en attendais trop peut-être ?
Hotel Castellana nous permet de rencontrer Daniel, un jeune texan passionnée de photographie (qui rêve d'ailleurs de devenir photo-reporter) qui séjourne à Madrid en 1957, avec ses parents. A l'hôtel Castellana, dans lequel il est descendu, il rencontre Ana, employée chargée de s'occuper de sa famille. A travers leur regard à tous les deux, nous allons découvrir la vie en Espagne durant cette période troublée.
Au fil de notre lecture, nous en apprenons sur la vie quotidienne et les secrets de la dictature. Pour Ana et sa famille, dont les parents républicains ont été exécutés, la vie n'est pas simple. Ils doivent faire profil bas, ne pas attirer l'attention sur eux. Daniel, de son côté, comprend très vite que son statut d'Américain ne le protège pas vraiment, mais qu'il peut raconter énormément de chose avec ses photos. Quant à Purificacion, la cousine d'Ana, son travail à l'orphelinat lui permet de mettre le doigt sur des histoires pas très nettes…
J'ai vraiment beaucoup aimé cette immersion dans cette époque dangereuse. J'ai aimé voir les personnages se poser des questions, comprendre que quelque chose n'allait pas, chercher comment l'exprimer sans se mettre trop en danger. J'ai aimé voir leur évolution. J'ai aimé le fait que l'histoire se termine 20 ans après le début, après la chute de Franco.
En gros, j'ai aimé ce roman. Mais j'ai eu un peu de mal à y entrer au départ. Peut-être trop de personnages dès le début ? Et puis, j'avais lu tellement de bonnes critiques sur ce livre que je m'attendais à être davantage captivée. Alors qu'au final, j'ai bien aimé, mais je n'étais pas prise dedans au point de ne pas pouvoir le lâcher. J'en attendais trop peut-être ?
