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Critique de NicolaK
Toujours à la recherche de bons thrillers médicaux, je suis tombée par hasard sur ce Cinquième patient de Thierry Serfaty, second livre de l'auteur.
Nous avons donc Robert Greene, qui ne se remet pas du décès de son épouse emportée par un cancer, et qui fuit le corps médical depuis ce jour funeste. Sauf qu'en se rendant compte qu'il devient impuissant, il doit se résoudre à consulter. Les diagnostics s'enchaînent, jusqu'à ce que le professeur Cartier lui déclare qu'il est atteint d'une sclérose en plaque.
Mais justement, le laboratoire Starlab teste un nouveau traitement contre cette maladie, lequel est proposé à Robert en échange d'une forte somme d'argent s'il accepte de jouer les cobayes. N'ayant plus rien à perdre, il accepte.Et le voilà devenu le cinquième patient à essayer le nouveau médoc.
Les doses lui seront administrées par le docteur Eydan Corr. Devant l'inefficacité du médicament, Robert se persuade (pas forcément à tort) qu'il est incurable et demande au Dr Corr de le tuer. S'il ne le fait pas, c'est lui qui le tuera. Ouais, pourquoi pas. le suicide c'est surfait après tout, ça semble une bonne idée d'exiger d'un médecin qu'il nous tue, n'est-ce pas.
Pour la suite, on a des menaces, des morts suspectes, les personnages vont et viennent... les laboratoires sont montrés du doigt... la routine et ce qu'on rencontre dans beaucoup de romans du genre.
Ce qui pourrait changer la donne, et éviter le sentiment de déjà vu, c'est le style de l'auteur. Je le qualifierais de fluide mais banal, du moins dans ce livre, parce qu'il en a écrit de meilleurs. Les personnages, sans être particulièrement antipathiques, ne m'ont pas vraiment inspiré beaucoup d'émotions... peut-être un chouia d'empathie mais sans plus. Un peu de suspense, mais encore une fois sans plus.
Pour résumer, mes Cook et James ne sont pas près d'être détrônés. Point positif, ce roman se lit très vite grâce à la fuidité de la plume dont je viens de parler. Mais bon, ce n'est pas ce que j'attends d'un thriller personnellement, et il ne me laissera pas un souvenir inoubliable.
Nous avons donc Robert Greene, qui ne se remet pas du décès de son épouse emportée par un cancer, et qui fuit le corps médical depuis ce jour funeste. Sauf qu'en se rendant compte qu'il devient impuissant, il doit se résoudre à consulter. Les diagnostics s'enchaînent, jusqu'à ce que le professeur Cartier lui déclare qu'il est atteint d'une sclérose en plaque.
Mais justement, le laboratoire Starlab teste un nouveau traitement contre cette maladie, lequel est proposé à Robert en échange d'une forte somme d'argent s'il accepte de jouer les cobayes. N'ayant plus rien à perdre, il accepte.Et le voilà devenu le cinquième patient à essayer le nouveau médoc.
Les doses lui seront administrées par le docteur Eydan Corr. Devant l'inefficacité du médicament, Robert se persuade (pas forcément à tort) qu'il est incurable et demande au Dr Corr de le tuer. S'il ne le fait pas, c'est lui qui le tuera. Ouais, pourquoi pas. le suicide c'est surfait après tout, ça semble une bonne idée d'exiger d'un médecin qu'il nous tue, n'est-ce pas.
Pour la suite, on a des menaces, des morts suspectes, les personnages vont et viennent... les laboratoires sont montrés du doigt... la routine et ce qu'on rencontre dans beaucoup de romans du genre.
Ce qui pourrait changer la donne, et éviter le sentiment de déjà vu, c'est le style de l'auteur. Je le qualifierais de fluide mais banal, du moins dans ce livre, parce qu'il en a écrit de meilleurs. Les personnages, sans être particulièrement antipathiques, ne m'ont pas vraiment inspiré beaucoup d'émotions... peut-être un chouia d'empathie mais sans plus. Un peu de suspense, mais encore une fois sans plus.
Pour résumer, mes Cook et James ne sont pas près d'être détrônés. Point positif, ce roman se lit très vite grâce à la fuidité de la plume dont je viens de parler. Mais bon, ce n'est pas ce que j'attends d'un thriller personnellement, et il ne me laissera pas un souvenir inoubliable.
