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Critique de Michelinaix
Les lecteurs du journal "Pif" de l'ensemble des années 1970 se passionnaient pour Les Enquêtes de Ludo. Ludo arrivait sur le lieu où un larcin, une prévarication ou un crime venait de se produire, dans une demi-douzaine de cases étaient parsemés des indices (visuels et lexicaux) qui allaient permettre d'identifier le coupable. Il fallait bien avoir au moins dix ans pour trouver la solution (voir des exemples de pages ici http://lesenquetesdeludo.free.fr/enquetes.html).
Avec "C'est pas moi !", on s'adresse à un lectorat qui peut venir de maîtriser à peine la lecture. le contenu est donc abordable de façon automne dès une scolarisation de fin de CP. L'intérêt se maintient pour tous les élèves scolarisés en école primaire.
Le principe est d'une énigme sur chaque double-page. On à droite un dessin avec une question en rapport avec un élément de l'illustration et à gauche les potentiels coupables (toujours au nombre de quatre). En observant les deux pages, on trouvera l'indice pertinent pour identifier la personne malfaisante. Un objet peut porter une trace significative (rouge à lèvres), des traces révélatrices existent (celles de pas), un personnage est visiblement celui qui a utilisé l'objet porteur de l'action délictueuse (un parapluie a protégé un personnage).
Sont présentées douze situations renvoyant à l'univers des jeunes enfants comme le carnaval, la plage, le jardin… On n'est pas du tout dans le domaine du crime. D'ailleurs le titre de cet ouvrage le confirme; il a l'avantage de parler vraiment aux jeunes lecteurs et constitue une belle accroche pour leur donner envie d'ouvrir cet ouvrage.
Les deux auteurs ont une belle expérience en matière de littérature de jeunesse et le résultat est remarquable. On peut commander cet ouvrage sur le site internet de Monécolefr, là https://monecole.fr/article?artid=29&utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=continuite-pedagogique-classe-numerique-et-differenciation_26
Avec "C'est pas moi !", on s'adresse à un lectorat qui peut venir de maîtriser à peine la lecture. le contenu est donc abordable de façon automne dès une scolarisation de fin de CP. L'intérêt se maintient pour tous les élèves scolarisés en école primaire.
Le principe est d'une énigme sur chaque double-page. On à droite un dessin avec une question en rapport avec un élément de l'illustration et à gauche les potentiels coupables (toujours au nombre de quatre). En observant les deux pages, on trouvera l'indice pertinent pour identifier la personne malfaisante. Un objet peut porter une trace significative (rouge à lèvres), des traces révélatrices existent (celles de pas), un personnage est visiblement celui qui a utilisé l'objet porteur de l'action délictueuse (un parapluie a protégé un personnage).
Sont présentées douze situations renvoyant à l'univers des jeunes enfants comme le carnaval, la plage, le jardin… On n'est pas du tout dans le domaine du crime. D'ailleurs le titre de cet ouvrage le confirme; il a l'avantage de parler vraiment aux jeunes lecteurs et constitue une belle accroche pour leur donner envie d'ouvrir cet ouvrage.
Les deux auteurs ont une belle expérience en matière de littérature de jeunesse et le résultat est remarquable. On peut commander cet ouvrage sur le site internet de Monécolefr, là https://monecole.fr/article?artid=29&utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=continuite-pedagogique-classe-numerique-et-differenciation_26
