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Critique de LoupAlunettes
La jeune « Morph » pourrait penser littéralement que les hommes marchent sur la tête.
Elle le pense vraiment, elle s'est dévouée à la cause du journal clandestin « Typos ».
Mais maintenant, plus qu'un autre jour, Lena Young en a la démonstration. Elle pourrait en rire mais l'humour à froid est plutôt son style et du sang froid lorsque l'on se trouve la tête en bas et tenter ne pas paniquer, c'est une épreuve !
Tandis que le reste de l'équipe se trouve parti à sa recherche, enquêtant en parallèle sur une entreprise qui semble avoir trouver le remède miracle contre l'action destructrice d'une bactérie qui détruit les récoltes agricoles comme une invasion de grillons, l'adolescente « Morph » Young se trouve attachée à un crochet, suspendue au- dessus du vide. Avec le visage d'une autre.
Sous l'identité d'une certaine Tina Genus, journaliste d'investigation sur le sujet « AgroGen » et le champignon noir, Morph se trouve pour une fois bien démunie, les traits du visage copiés sur celui de la Tante Agatha de Gipsy font sérieusement la grimace.
Les tâches d'Arlequin le démange de plus en plus, comme un sixième sens à l'arnaque qui ne manque pas de le brûler un peu de temps à autre quand l'heure est grave. En compagnie de Dusker et de Gipsy, l'équipe compte bien prouver que AgroGen est le mal et la cure en même temps et qu'il y a encore une fois beaucoup d'argent au dépend des plus démunis.
Dans le secret le plus totale, des scientifiques disparaissent et pour Typos, il n'y a pas de doute, il y a du K-Lab la-dessous.
« Le silence est d'or, la parole d'argent » et si il faut en mettre le prix, K-Lab vous donne sa parole que vos petites affaires resteront incognito...
: Comme attendu, au travers d'une deuxième affaire de supercherie criminelle, l'auteur choisi, car ils changent, Guido Sgardoli fait un tour de présentation de ses jeunes personnages et après celui d'Arlequin abordé dans le tome 1, c'est au tour de Gipsy d'ouvrir le livre des origines. Justement, la jeune adolescente, on le découvre au fil des pages, ne semble pas se souvenir de son passé. Rien ne vient expliquer ses extraordinaires facultés, les branchies artificielles qui lui permettent de respirer sous l'eau ou sa tolérance à la douleur à l'instar du héros « Kick Ass » du Comics de Romita Jr. Il semblerait que les allergies particulières de Arlequin, agissant comme un sixième sens d'une araignée justicière très connue, que les facultés de Len Young « Morph » à modeler son visage comme de la pâte à modeler, pourraient être la conséquence d'autres manipulations génétiques à la commercialisation juteuse, des accidents collatéraux dont le public ignore encore l'existence.
Qu'à cela ne tienne, Typos, cette cellule idéaliste et justicière qui emploie des adolescents étudiants, entraînés à traquer le mensonge et la corruption criminelle, sur le web et sur le terrain, ne reculent devant rien afin de rétablir la vérité. Leur grand ennemi K-Lab, qui monnaie un service de couverture faisant passer des loups pour des agneaux, est dans la place et l'affaire des champignons noir et de la miraculeuse semence transgénique qui réussit à le stopper va rapporter gros. Ou pas.
Ronda Cubash et son homme de main, Cartablanca, celui-là même dont personne ne peut jamais se souvenir des traits du visage, commence à remonter progressivement vers l'université, là où se cache la cellule clandestine du journal Typos.
L'intrigue de cette fiction est digne d'un film d'espionnage et bien menée, la chute bien amenée, alors que les choses paraissent toujours sans espoir complet, la justice triomphe toujours par un biais inattendu.
Les passés de Morph et de Gispy semblent être plus que liés, les lecteurs se rendront compte que la détermination de ses adolescents dans cette quête contre K-Lab représente une quête de vérité pour les uns et une réparation juste pour les autres, chacun apparaissant comme eux-même d'anciennes victimes de ce système gangrené
Mais qu'en est-il de Dusker ? Pour cela, il faudra attendre le tome 3 !
Elle le pense vraiment, elle s'est dévouée à la cause du journal clandestin « Typos ».
Mais maintenant, plus qu'un autre jour, Lena Young en a la démonstration. Elle pourrait en rire mais l'humour à froid est plutôt son style et du sang froid lorsque l'on se trouve la tête en bas et tenter ne pas paniquer, c'est une épreuve !
Tandis que le reste de l'équipe se trouve parti à sa recherche, enquêtant en parallèle sur une entreprise qui semble avoir trouver le remède miracle contre l'action destructrice d'une bactérie qui détruit les récoltes agricoles comme une invasion de grillons, l'adolescente « Morph » Young se trouve attachée à un crochet, suspendue au- dessus du vide. Avec le visage d'une autre.
Sous l'identité d'une certaine Tina Genus, journaliste d'investigation sur le sujet « AgroGen » et le champignon noir, Morph se trouve pour une fois bien démunie, les traits du visage copiés sur celui de la Tante Agatha de Gipsy font sérieusement la grimace.
Les tâches d'Arlequin le démange de plus en plus, comme un sixième sens à l'arnaque qui ne manque pas de le brûler un peu de temps à autre quand l'heure est grave. En compagnie de Dusker et de Gipsy, l'équipe compte bien prouver que AgroGen est le mal et la cure en même temps et qu'il y a encore une fois beaucoup d'argent au dépend des plus démunis.
Dans le secret le plus totale, des scientifiques disparaissent et pour Typos, il n'y a pas de doute, il y a du K-Lab la-dessous.
« Le silence est d'or, la parole d'argent » et si il faut en mettre le prix, K-Lab vous donne sa parole que vos petites affaires resteront incognito...
: Comme attendu, au travers d'une deuxième affaire de supercherie criminelle, l'auteur choisi, car ils changent, Guido Sgardoli fait un tour de présentation de ses jeunes personnages et après celui d'Arlequin abordé dans le tome 1, c'est au tour de Gipsy d'ouvrir le livre des origines. Justement, la jeune adolescente, on le découvre au fil des pages, ne semble pas se souvenir de son passé. Rien ne vient expliquer ses extraordinaires facultés, les branchies artificielles qui lui permettent de respirer sous l'eau ou sa tolérance à la douleur à l'instar du héros « Kick Ass » du Comics de Romita Jr. Il semblerait que les allergies particulières de Arlequin, agissant comme un sixième sens d'une araignée justicière très connue, que les facultés de Len Young « Morph » à modeler son visage comme de la pâte à modeler, pourraient être la conséquence d'autres manipulations génétiques à la commercialisation juteuse, des accidents collatéraux dont le public ignore encore l'existence.
Qu'à cela ne tienne, Typos, cette cellule idéaliste et justicière qui emploie des adolescents étudiants, entraînés à traquer le mensonge et la corruption criminelle, sur le web et sur le terrain, ne reculent devant rien afin de rétablir la vérité. Leur grand ennemi K-Lab, qui monnaie un service de couverture faisant passer des loups pour des agneaux, est dans la place et l'affaire des champignons noir et de la miraculeuse semence transgénique qui réussit à le stopper va rapporter gros. Ou pas.
Ronda Cubash et son homme de main, Cartablanca, celui-là même dont personne ne peut jamais se souvenir des traits du visage, commence à remonter progressivement vers l'université, là où se cache la cellule clandestine du journal Typos.
L'intrigue de cette fiction est digne d'un film d'espionnage et bien menée, la chute bien amenée, alors que les choses paraissent toujours sans espoir complet, la justice triomphe toujours par un biais inattendu.
Les passés de Morph et de Gispy semblent être plus que liés, les lecteurs se rendront compte que la détermination de ses adolescents dans cette quête contre K-Lab représente une quête de vérité pour les uns et une réparation juste pour les autres, chacun apparaissant comme eux-même d'anciennes victimes de ce système gangrené
Mais qu'en est-il de Dusker ? Pour cela, il faudra attendre le tome 3 !
