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Critique de clemia
Quelle bonne lecture à l'approche du printemps ! Parfait pour remettre des fleurs dans nos existences.
Cette dernière semaine, je me suis retrouvée à lire de nombreux mangas. Est-ce sous l'emprise des rayons du soleil qui se réchauffent ? Des bourgeons sur les branches ? Des oiseaux qui accueillent le changement de saison ? Quoi que ce fût, une sorte de nostalgie accueillante m'a poussée vers les mangas. Ces derniers, protecteurs, me ramènent sans aucun doute à mon adolescence, absente de réel souci.
"Sahara, le chevalier des fleurs" de Shibata Yûsaku s'est révélé particulièrement adéquat au retour des beaux jours. Ce oneshot se déroule dans un monde devenu désertique dont le vivant a été complètement exterminé par la Grande Guerre. Seuls quelques populations humaines survivent dans des villes coincées au milieu du désert.
Un samouraï vagabond, guidé par son seul instinct et armé d'un katana peu commun parcourt le monde dans le but d'exterminer des guerriers automates, vestiges de la guerre dont le but unique est d'exterminer toute trace de vie.
Le chemin de notre samouraï croise celui d'une jeune fille, bien décidée à retrouver la terre natale de son père, la vallée de l'arbre de vie pour y déposer ses cendres.
Ainsi commence leur quête, poussés l'un vers l'autre, ils vont remonter l'origine du mal et tenter de redonner de la vie, de l'espace et du coeur au vivant, aux plantes, aux arbres sans qui l'humanité a peu d'espoir.
Un très bon manga d'aventure. Malgré son unique volume, le mangaka a très bien réussi l'exercice du oneshot. L'intrigue est intense mais le contexte est bien développé, les planches dynamiques et le dessin agréablement fin. Les personnages sont concrets et leurs relations réalistes. Sahara est un personnage extrêmement touchant, complexe et que j'aurais adoré suivre sur plusieurs volumes.
Un très beau manga !
Cette dernière semaine, je me suis retrouvée à lire de nombreux mangas. Est-ce sous l'emprise des rayons du soleil qui se réchauffent ? Des bourgeons sur les branches ? Des oiseaux qui accueillent le changement de saison ? Quoi que ce fût, une sorte de nostalgie accueillante m'a poussée vers les mangas. Ces derniers, protecteurs, me ramènent sans aucun doute à mon adolescence, absente de réel souci.
"Sahara, le chevalier des fleurs" de Shibata Yûsaku s'est révélé particulièrement adéquat au retour des beaux jours. Ce oneshot se déroule dans un monde devenu désertique dont le vivant a été complètement exterminé par la Grande Guerre. Seuls quelques populations humaines survivent dans des villes coincées au milieu du désert.
Un samouraï vagabond, guidé par son seul instinct et armé d'un katana peu commun parcourt le monde dans le but d'exterminer des guerriers automates, vestiges de la guerre dont le but unique est d'exterminer toute trace de vie.
Le chemin de notre samouraï croise celui d'une jeune fille, bien décidée à retrouver la terre natale de son père, la vallée de l'arbre de vie pour y déposer ses cendres.
Ainsi commence leur quête, poussés l'un vers l'autre, ils vont remonter l'origine du mal et tenter de redonner de la vie, de l'espace et du coeur au vivant, aux plantes, aux arbres sans qui l'humanité a peu d'espoir.
Un très bon manga d'aventure. Malgré son unique volume, le mangaka a très bien réussi l'exercice du oneshot. L'intrigue est intense mais le contexte est bien développé, les planches dynamiques et le dessin agréablement fin. Les personnages sont concrets et leurs relations réalistes. Sahara est un personnage extrêmement touchant, complexe et que j'aurais adoré suivre sur plusieurs volumes.
Un très beau manga !
