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Critique de Ziliz


De passage à Paris, une Islandaise vieillissante succombe au charme d'un beau vendeur de paravents le temps d'une étreinte "magique". Quelle chance : elle avait envie d'un amant le matin-même. Les lieux lui rappellent l'amour qu'elle éprouva étudiante pour son professeur de grec à la Sorbonne. Sentiment non partagé ou incapacité réelle de l'homme à répondre à son désir ? on ne le saura pas... Mais Brynhildur est restée figée sur ce souvenir qui a semble-t-il parasité sa vie d'épouse.
Que cette quadra/quinqua ait continué à ressasser cet "échec" sentimental pendant vingt-cinq années d'une vie riche auprès d'un mari aimant et de deux filles m'a complètement déroutée. Je n'ai pas été sensible à ces regrets de gamine capricieuse qui m'ont semblé d'un autre temps. Seules les toutes dernières pages m'ont légèrement réconciliée avec cette femme... Un rendez-vous raté, donc, avec ce roman narcissique et vain à mes yeux. Il est probable que les thématiques plus dramatiques de mes deux lectures précédentes aient contribué à ce sentiment de futilité totale entre ces pages et donc à mon agacement.
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