J'ai découvert
Adam Silvera avec son roman
Plus heureux que jamais (tome unique) qui m'avait profondément ébranlée. Je poursuis ma découverte de l'auteur avec
le premier qui meurt à la fin, son dernier roman qui se déroule avant
Et ils meurent tous les deux à la fin.
L'histoire se déroule en 2010, à New York. Orion et Valentino ne se connaissent pas mais ont un point commun. Les deux jeunes hommes sont à Times Square et participent à la soirée de lancement de Death-Cast. Ce programme est totalement novateur et va révolutionner votre mort. Les adhérents recevront un appel leur annonçant leur décès le jour-même. Flippant, non ? Adam comme Valentino ont pourtant des raisons bien personnelles d'y adhérer. Lorsqu'ils se rencontrent, il se passe clairement quelque chose entre eux, une véritable alchimie. Mais le calme sera de courte durée. L'un des deux reçoit un appel de Death-Cast, le tout premier appel de la firme, lui annonçant la fin de sa vie au cours de la journée. Comment alors une course effrénée pour la vie.
Si ce roman m'a un peu fait peur par sa taille (600 pages), je peux vous garantir qu'une fois commencé, il m'a été impossible de le quitter.
Adam Silvera nous livre une histoire futuriste, addictive et angoissante. Death-Cast est-elle une invention révolutionnaire ou une vaste arnaque ? C'est LA question qu'on se pose durant toute notre lecture. J'ai adoré les choix de narrations de l'auteur. Nous suivons nos personnages principaux mais aussi d'autres personnages dont on ignore parfois quels rôles ils joueront dans l'histoire. J'ai aimé la façon dont tout s'imbrique comme les pièces d'un puzzle.
A travers cette lecture, j'ai retrouvé tous les ingrédients qui m'ont plu dans
Plus heureux que jamais : des personnages attachants, le côté futuriste inquiétant, des faits historiques réels comme le World Trade Center, l'homosexualité et le coming out, l'acceptation de soi, la famille et l'Amour.
Adam Silvera est indéniablement un excellent auteur de Young Adult à découvrir !
Lien :
http://romansurcanape.fr/le-.. Commenter  J’apprécie         60