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Critique de Gwelan
Cela commence comme un roman policier et se continue en science fiction. de la bonne science fiction où l'histoire de ce continent perdu et de cette civilisation en sommeil, puisque ses descendants existent toujours, auraient pu exister à une époque très reculée. Seul le moyen d'accéder à son histoire est rocambolesque. Mais il fallait bien trouver le fil conducteur. Barjavel à fait ressuscité les morts Simonay place l'esprit des morts dans une sorte d'éther, pourquoi pas... Et puis l'introduction du fanatisme religieux se prête très bien a l'époque actuelle.
