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Critique de Khalya
Quand on lit un thriller ou un roman fantasy, généralement, on sait plus où moins où on va : l'histoire a un but qui n'est pas très difficile à définir, même si on ne sait pas comment ça va exactement se terminer.
Ici, il n'y a pas vraiment de but affiché. On a sait pas du tout où nous mène l'histoire et il faut plus ou moins se laisser porter. Je peux du coup comprendre que ça puisse ne pas plaire.
Mais en ce qui me concerne, j'ai beaucoup aimé suivre l'histoire de Yunjae.
Difficile pour lui de s'intégrer en l'absence d'émotions. Il a dû mal à reconnaître et à utiliser les codes de la vie en société et ses camarades d'école sont assez hostiles.
On sait que les gosses sont sans pitié mais le fait que les parents s'y mettent aussi, j'ai trouvé ça choquant.
Car si Yunjae ne rit pas, ne sourit pas, ne pleure pas etc, il ne pose pas de problèmes pour autant.
J'ai d'ailleurs trouvé que sa mère allait bien trop loin pour le formater à se comporter "normalement".
Je ne sais pas ce qu'il en est de la protection de l'enfance en Corée, alors je ne peux pas dire si le roman est réaliste ou non sur ce point, mais en tant qu'occidentale, j'ai j'ai choquée que personne ne prenne en charge Yunjae quand il se retrouve tout seul alors qu'il n'est pas encore au lycée.
J'ai vraiment trouvé ça bizarre mais je suis vite passé au dessus pour me concentrer sur l'histoire.
J'ai beaucoup aimé Yunjae qui est vraiment attachant malgré sa froideur mais j'ai surtout apprécié Gon.
Alors oui, ce gamin est une vraie calamité, mais, s'il est en apparence violent et méchant, j'ai trouvé qu'il était surtout profondément blessé aussi bien par son passé que par les décisions de son père dans le présent.
J'ai passé un bon moment en compagnie de Yunjae. C'était une tranche de vie avec beaucoup de douceur malgré les épisodes violents qui la parsèment et je ne regrette pas de m'être laissée tentée.
Ici, il n'y a pas vraiment de but affiché. On a sait pas du tout où nous mène l'histoire et il faut plus ou moins se laisser porter. Je peux du coup comprendre que ça puisse ne pas plaire.
Mais en ce qui me concerne, j'ai beaucoup aimé suivre l'histoire de Yunjae.
Difficile pour lui de s'intégrer en l'absence d'émotions. Il a dû mal à reconnaître et à utiliser les codes de la vie en société et ses camarades d'école sont assez hostiles.
On sait que les gosses sont sans pitié mais le fait que les parents s'y mettent aussi, j'ai trouvé ça choquant.
Car si Yunjae ne rit pas, ne sourit pas, ne pleure pas etc, il ne pose pas de problèmes pour autant.
J'ai d'ailleurs trouvé que sa mère allait bien trop loin pour le formater à se comporter "normalement".
Je ne sais pas ce qu'il en est de la protection de l'enfance en Corée, alors je ne peux pas dire si le roman est réaliste ou non sur ce point, mais en tant qu'occidentale, j'ai j'ai choquée que personne ne prenne en charge Yunjae quand il se retrouve tout seul alors qu'il n'est pas encore au lycée.
J'ai vraiment trouvé ça bizarre mais je suis vite passé au dessus pour me concentrer sur l'histoire.
J'ai beaucoup aimé Yunjae qui est vraiment attachant malgré sa froideur mais j'ai surtout apprécié Gon.
Alors oui, ce gamin est une vraie calamité, mais, s'il est en apparence violent et méchant, j'ai trouvé qu'il était surtout profondément blessé aussi bien par son passé que par les décisions de son père dans le présent.
J'ai passé un bon moment en compagnie de Yunjae. C'était une tranche de vie avec beaucoup de douceur malgré les épisodes violents qui la parsèment et je ne regrette pas de m'être laissée tentée.
