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Critique de Polars_urbains


Tout commence « Chez Frédo », le rendez-vous des pochtrons locaux et des fidèles du comptoir, dont Canardo qui y descend quelques canons pour oublier ses ennuis et sa mélancolie chronique. Tout ne va donc pas trop mal jusqu'à ce que se produise Lili, la nouvelle chanteuse, belle et forte voix dans un corps fragile que secouent de violentes quintes de toux. Car son interprétation de Lili Marlène semble produire des réactions étranges chez Bronx, le simplet du village, d'habitude doux comme un agneau.

La mort douce est une histoire d'une tristesse immense. Il y est question d'enfant abandonné, de vengeance, de maladie et de mort. de souvenirs aussi pour Canardo qui ne semble aimer que des femmes qui meurent dans ses bras. Une histoire ans laquelle la musique n'adoucit pas les moeurs mais provoque des dégâts irréparables et rend les canards inconsolables : « C'est ton alcool qui est mauvais, Fredo : il ne me fait rien oublier. ».
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