L'auteur Antonio de Sousa a écrit ses cris avec une telle sincérité et une telle sensibilité qu'on ne peut pas resté insensible à cette lecture. Différents thèmes et donc moments de sa vie sont évoqués, la maladie, le deuil, l'immigration… le Portugal ! J'avoue que j'ai savouré ce chapitre, car l'auteur décrit le Portugal tel que je le vois, comme si nous le voyons ensemble au même moment, avec les mêmes yeux !
Pour finir, je terminerai par un « cri» de l'auteur : « L'exil débute souvent par la haine et se termine par l'amour, l'amour de son pays de naissance, l'amour de son pays d'accueil. Il faudrait envoyer ceux qui portent la haine en exil, ce qui augmenterait l'amour dans le monde.
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