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Critique de Pivoine57
Un livre qui a fait mes délices. Et mes soirées. J'allumais la lampe de chevet et, au lieu d'essayer vainement de m'endormir, je lisais.
Non dans cette édition ci, mais dans celle des éditions Artis, à Bruxelles. Un album relié pleine toile, rouge orangé, avec titres frappés or, et des vignettes collées, avec les illustrations originales de l'artiste suisse Marta Pfannenschmidt. En 1947.
J'ai aimé l'hiver au Dörfli, le séjour du Docteur chez le grand-père, puis, enfin l'été, quand Claire Sesemann retrouve son amie Heidi. Rien ne me semblait plus merveilleux que la réunion des enfants au chalet du grand-père.
Le soir, passé à regarder les étoiles, les petits déjeuners de pain, de beurre et de lait de chèvre, puis, bien sûr, la lente guérison de Clara.
Tout ceci était très moral, bien sûr, mais tellement poétique. le souvenir en a été si vif que je suis allée à Maienfeld et au Heidi Dörfli, bien des années plus tard, dans l'espoir de voir cette splendide nature. Sauf qu'il faisait brumeux...
Non dans cette édition ci, mais dans celle des éditions Artis, à Bruxelles. Un album relié pleine toile, rouge orangé, avec titres frappés or, et des vignettes collées, avec les illustrations originales de l'artiste suisse Marta Pfannenschmidt. En 1947.
J'ai aimé l'hiver au Dörfli, le séjour du Docteur chez le grand-père, puis, enfin l'été, quand Claire Sesemann retrouve son amie Heidi. Rien ne me semblait plus merveilleux que la réunion des enfants au chalet du grand-père.
Le soir, passé à regarder les étoiles, les petits déjeuners de pain, de beurre et de lait de chèvre, puis, bien sûr, la lente guérison de Clara.
Tout ceci était très moral, bien sûr, mais tellement poétique. le souvenir en a été si vif que je suis allée à Maienfeld et au Heidi Dörfli, bien des années plus tard, dans l'espoir de voir cette splendide nature. Sauf qu'il faisait brumeux...
